Repos entre deux bataile

Aprés avoir quitté Eléanore dans la plaine Aiolia prépara son équipement (épées, bouclier, lance etc...) puis alla cherché ses hommes en crian

"Soldat !! Nous partons sur le champs, préparer votre équipement."

Et les soldats répondirent en coeur

- Oui Capitaine !!

Environ une demi heure après ils arrivèrent sur le champ de bataille, le comité d'accueille les attendait déja, puis comme a son habitude Aiolia dit un petit discour.

"Soldat, aujourd'hui est un grand jour pour nous et pour Boros, allons faisons lui honneur et pas de quartier !!!"

Les discour d'Aiolia était toujours bref mais plein de hargne et ses soldats aimait sa.
L'instant d'après un immense crie retentit sur le champ de bataille, et la bataille commença par un "CHARGE !!" lancé par Aiolia en tête de ses troupes, la bataille était violente de part la force des combats puis de l'agilité des combattant, on pouvait voir des boule de feu et divers autres capacité déployer sur le champ de bataille, Aiolia n'eut pas besion de son pouvoir et decima tous ceux qui osait s'en prendre a lui parfois même tous en protegeant un des ses hommes.

Une bataille acharné entre les deux clan faisait rage, on pouvait entendre la fureur des combat a plusieur mètre a la ronde.

Quatre heure passèrent et la première de nombreuse bataille se termina. Aiolia fît le conte d'homme perdu et a son grand soulagement il n'en perdit que deux cent ou trois cent.

" Soldat, ces hommes sont des heros et se sont battus pour leur pays, et ceci est ceci est un grand honneur pour eux d'être mort sur le champ de bataille"

Après ses quelques mots aiolia prit une torche et brula leur corp. Et avant d'aller se reposer dans sa tente il dit

" Reposer vous bien soldat, demain la bataille sera plus rude"

Puis il alla dans sa tente.

Eléanore se sentait mal.

En temps normal, elle executait les tests et les missions qu'on lui ordonnait d'éxecuter. Elle faisait ce qu'on lui disait de faire. Sans foi ni loi : elle obéissait. Mais cette fois, elle avait peur. Elle se posait des questions, elle se demandait.

En temps normal, on ne lui demandait pas de faire ce qu'elle s'apprêtait à faire. Pourquoi, soudain, on lui collait les tâches ingrates ? Elle ne savait pas quoi penser. Peut-être était-ce une augmentation ? Une réconpense pour son travail fournit à l'arène, avec tout ces guerriers ? Peut-être aussi était-ce une responssabilité en plus... peut-être pas. Peut-être était-ce le contraire ! C'était trop de 'peut-être' pour la jeune testeuse qui descendait du cheval avec lequel elle avait gagné le camp de l'armée. * En temps normal, on m'aurait conduit ici en voiture... * pensa-t-elle. La guerre engendrait plusieur cathégories de dangers, dont celui des voyageurs. Il était devenu déplacé de faire circuler trop de voitures, même dans son propre territoire. Eléanore ne pouvait qu'obéir, en étant consciente qu'en matière de bataille, le clan du Lion s'y connaissait.

Escortée par deux hommes plutôt bien battit, elle fut menée vers la tente d'Aiolia, le capitaine qu'elle avait eu le plaisir de rencontrer cette après-midi même. Quelques mètres avant la porte improvitée de la tente, l'escorte s'arrêta, laissant Eléanore arriver seule. Faute de support fixe, elle ne put frapper, et elle se contenta d'hésiter avant d'ouvrir le voile de tissus imperméable.

Rapière battant à sa cuisse, tunique verte ajustée, le regard indéchiffrable et la tête haute, elle annonça son entrée d'une voix officielle.

Capitaine Aiolia ? Je suis Eléanore Caldin, je suis venue vous rendre visite.

Après cette bataille qui fût pour le moin sanglante et épuisantes, Aiolia énuma les corp de ses valeureux soldats mort pendant cet affrontement. Puis alla dans sa tente se laver et se reposer car la bataille du lendemain risqu'ait sans nul doute d'être encore plus eprouvantes que celle-ci car en y reflechissant bien, il s'était battu contre des gens qui n'avait jamis ou presque tenu une épée entre leur main et qui ne connaissait rien a l'art subtile qui est de faire la guerre.

Soudain, alors qu'Aiolia commençait a fermé les yeux, entendit une voie et se n'était autre qu'Eléanore Caldin la charmante jeune femme qu'il avait rencontrer l'après midi même.

" Oui c'est bien moi, qui est-ce ??"

Eléanore se présente même s'il l'avait reconnu au son de sa voie si douce, elle disait qu'elle était lui venu lui rendre visite.

*Elle n'est pas censé être au temple en se moment ?? enfin bref elle est la c'est le principal*

"Entrez je vous prie"

Mais sa curiosité l'emporta et il ne put s'empecher de demander

" Que me vos cette visite gente dame ??"

Il attendait sa réponse avec une certaine anxiété car vu son experience passé avec les femmes ceci ne présageait rien de bon.

Eléanore ne savait que dire, et elle avait ses raisons. * Que t'as ordonné le Prêtre ?! * se demanda-t-elle. " Ne soit pas trop directe, il aura des doutes sur toi. Si tu tournes autour du pot trop longtemps, il en sera de même. Essaye de lui faire dire, surtout, n'avance rien. Pas au début... * se rappela-t-elle. Son coeur battait à tout rompre. Que répondre à cette question ?

Le Prêtre m'a envoyé ici. Il a pensé que ça me ferait plaisir de voir ce qui se passe dans les camps, il sait que je m'intéresse aux guerres que mène notre clan et m'a rendu service en m'envoyant en ces lieux. Êtant ici, je me suis proposée une petite visite dans votre... tente.

Elle lui sourit. Elle détestait ça. Elle se détestait, en ce moment. Toujours, elle avait été directe et sans coeur envers les duellistes qui lui tenaient tête, leur exposant exactement leur défauts, sans détour. Là, elle avait été envoyée pour ne pas dire ce qu'elle savait, elle ne pouvait rien laisser passer, rien. Une fois de plus, elle se maîtrisa à merveille, malgré la méprise qu'elle portait à ses actes.

J'ai entendu qu'il y avait déjà des morts... plusieurs centaines dit-on. Vous revenez de l'énumération des corps, ou vous avez fait un détour avant de rentrer ? Je vous ai vu les bruler, c'est un spectable triste, mais important. Inévitable...

Sa voix, pourtant, me prouvait aucaune tristesse, ni même une poussière de compassion.

Eléanore était ici, mais etait-ce une simple volonté du temple de faire plaisir a Eléanore ou était-ce une ruse par le temple pour l'espionner. De toute façon il le serait bien assez tôt.

" Je suis ravi de vous voir ici gente dame, une compagnie aussi charmante que vous et un luxe sur un champ de bataille"

Puis Aiolia remarqua qu'elle avait sourit, au premier cout d'oeil il trouva sa bizarre car pendant l'apres midi elle ne l'avait jamais fait, cela dit il ne voyait rien d'anormal la dedans c'était juste qu'elle montrait ses sentiments pour la premières fois.

"En effet, il y a des mort entre 200 et 300 pour être prècis, se qui est très peu sur 8 milles hommes. J'ai penser que ses vaillants hommes devait avoir des funérailles convenable même en temps de guerre, donc je revient de cela. Ceci est triste soit mais inévitable pour ne pas attraper des maladies"

Puis il voulut un peu changer de sujet car il venait de quitter le champ de bataille, se n'était pas pour en reparler mais il ne pût s'empecher d'en reparler, c'était pour ainsi dire le seul sujet qui lui venait a l'esprit en ce moment

" Alors comment trouvez-vous les champs de batailles et notre camps gente dame ?"

Le fait d'être appellé 'gente dame' aussi souvent la stressait. * Je suis tout, sauf une gente dame... * Elle rapporta son attention à Aiolia. Il semblait tellement heureux de la voir ici. Elle s'en voulu presque.

Et bien... C'est rudimentaire et... modeste. Mais je crois que c'est rare de situer un campement si près d'une ville, même si petit que celle qui se situe à quelques centaines de pas. Le relief est préférable, mais j'ai... entendu direr qu'elle était abandonnée à l'arrivée des troupes. Certains s'en réjouissent, d'autre, supersticieux, penchent pour une bête qui aura éffrayé les habitants.

Elle hésita avant de continuer.

Bien sûr, ce ne sont que des foutaises. Mais c'était une si belle ville... ai-je entendu dire, une fois de plus.

Elle qui se trouvait encore à l'entrée de la tente, se raprocha de son centre, et du feu qui y brulait. La chaleur brute qui vint à l'encontre de son visage la fit cligner des yeux. Elle recula et raporta son regard au capitaine. Combien de temps allait-ce durer ?

Aiolia écoutait Eléanore et ne se lassait aps d'entendre une si douce voie feminine, en effet la plupart des femme qu'il avait rencontrer avait des voie très grave et rauque se qui avait le don d'éxaspérer notre pauvre capitaine.

" En effet ceci est rare, mais j'ai choisit cet endroit car comme vous l'avez souligné le relief ici est préférable, d'ici nous pouvons voir tous se qui se passe autour de nous donc nous serions plus ameme de riposter en consequense, cependant je me rejouit que cette ville soit deserte malgré que mes homme aurait voulu un peu de distraction"

Puis Aiolia remarqua qu'elle hesita un bref instant

* Il y a quelque chose qui cloche, quoi encore je n'en sait rien mais je pense que je vais pas tardé a le découvrir*

" Oui cette rumeur n'est que foutaise car dans cette regions il n'y a pas de bête capable de faire fuir un village tout entier, de plus il y aurait eut un bête, mes explorateur m'aurait avertit qu'une chose pas normal était arriver car une bête féroce laisserai forcement des cadavres."

Puis Aiolia en avait marre d'attendre que le vrai sujet se dévoile ignorant totalement de quoi il s'agissait, mais il décidait d'attendre encore un peu.
En toute logique il ne devrait pas tarder a arriver

Je me demande malgré tout... C'est une bonne chose que les collons se soient enfuits avant notre arrivée. Je ne peux qu'imaginer le massacre qu'il y aurait eu. Mais s'il n'y a pas de monstre, de bête ou autre cauchemard dans le genre, ... Le Prêtre pense que quelqu'un, un éclaireur sans doute, les aurait avertit de notre arrivée. Nous ne savons pas où ils sont allés, mais des éclaireurs ont trouvés des pistes, des chariots. Plusieurs... Sûrement les villageois. Je me demande moi-même pourquoi ont les suit. Peut-être ont-ils des informations.

Elle soupira. Que dire de plus... Un capitaine soupsonné de trahison... Comment lui soustirer des informations ? Eléanore se demanda soudain pourquoi ils n'avaient pas envoyé quelq'un d'autre. Quelqu'un d'entrainé à cet éffet. Quelqu'un de compétent... Une autre idée lui vint : elle serait donc incompétente ? Ses pupilles se dilatèrent avec l'éffroit, et elle se réintéressa à Aiolia. Il devait parler...

Voila enfin le sujet le vrai sujet lancé, la fuite des villageois, le temple avait-il compris qu'Aiolia avait prévenu le village avant, cependant il restait impassible car c'était un faute grave qui pouvait lui falloir son poste dans l'armée. Alors Aiolia décida de nié et quoi de mieu que d'avoir l'appui d'un de ses soldat.

" Soldat !"
- Oui capitaine

Il regarda Eléanore dans les yeux pour voir s'il pouvait deviner quelque chose mais se n'était pas le cas, il décida d'attendre un peu a vant de dire se qu'il voulait au soldat, histoire de voir la réaction d'Eléanore puis il enchaina

"Appeller moi l'éclaireur qui était en charge du reperage du terrain"-Tous de suite capitaine

Quelque minute passèrent et l'éclaireur arriva

"Soldat raconter nous se que vous avez vus avant que nous arrivions "- Très bien monsieur, je n'est rien vu d'anormal capitaine quand je suis arriver, cependant les derniers habitant continuait a quitter la ville, je n'est rien vu de suspect a part sa

" Merci soldat, vous pouvez disposé"

le soldat reparti et il regarda Eléanore et dit

" Voila, nous ne savons pas qui les a prévenu mais soyez sur que si on le trouve il sera puni"

Et puis il en avit vraiment marre alors il alla droit au but

" Pourquoi toute ses question gente dame, aller droit au but je vous prit ?"

Qu'il en appelle à des preuves n'était pas prévu, et elle resta impascible pendant les différents échanges. Sa pascience s'écoulait, plus vite que prévu, et elle devait réagir. Penser au plan B... Elle ne pouvait pas en avoir à arriver là. Elle n'avait pas interronput le Prêtre, ni même osé le contredire, mais elle n'en arriverait pas là. Elle s'assit sur un tabouret.

Je n'insinue rien du tout, capitaine... Vous sentieriez-vous visé... ou coupable dans ce que je vien de dire ?

Elle était vraiment surprise, et sa phrase en gagnait sa véracité. Il réagit vite, tant mieux, elle sauve sa peau...

Vous avez surement des choses à faire... Euh, vous détendre, en tout cas... Je ne fait que venir discuter, l'échange de cette après-midi avait pourtant si bien débuté... Nous avons été interromput, alors laissez moi finir ? Qu'en pensez-vous ? Vous m'aviez posé une question.

Aiolia regardait attentivement la réaction d'Eléanore mais celle-ci ne fît rien d'extraordinaire. En tous cas il avait bien essayé

" Non je ne me sens pas du tous visé gente dame, mais je me suis dit qu'il y avait un sujet en dessus si vous me questionné autant sur cette histoire"

Il sourit, malgré que le ton de la voie d'Eléanore lui avait un peu deplu mais bon il se dit que ses une fille et que se n'était pas toujours tous blanc. Puis elle lui proposa de finir la discution entammer plus tôt dans la journée

" Oui j'ai grand besion de me détendre en effet"

A peine avait-il finit sa phrase qu'il ota son armure pour laisser apparaitre un corp musclé a souhait (pectoraux, abdominaux etc) puis continua

" Je suis totalement d'accord avec vous gente dame l'après midi avait si bien commencé, sur ce je vous en prie continué "

* Pour sur qu'elle a bien commencé une si jolie femme que vous*

Après cette pensé, il se ressaisit tous de suite et était parfaitement attentif aux parole d'Eléanore.

Eléanore détourna le regard, aussi rapidement que surement, lorsqu'il commença à déssangler ses pièces d'armures. Un frisson parcourut son dos. Elle devait rester. C'était un ordre, et une occation comme celle là était attendue par le Prêtre... mais sûrtout pas par elle. Voyant qu'il se retournait vers elle, elle s'obligea à le regarder, ne serait-ce que pas courtoisie. Ses yeux furent arritirés par les incroyables muscles du capitaine. * A l'aide... * supplia-t-elle. Elle garda néamoins le sourire et après s'être forcée à regarder ses yeux, elle parla.

Je disais donc que... comme beaucoups de membres du clan du Lion, vous possedez un pouvoir qui à un lien, direct ou indirect, avec le feu. Il y a deux raisons qui me fond croire cela : votre caractère, et vos antécédents. Votre caractère tout d'abord car chez vous, comme chez nombreuses personnes du clan, il y a courage et colère. Cette même colère que l'ont peut apprécier sur un champ de bataille ou dans un...

Elle se coupa la parole. Cherchant à changer les mots qu'elle s'apprêtait à déclarer.

... bref. Une colère qui peut être comparée à celle du feu qui dévore. Ce sont des représentations très abstraites du pouvoir, mais elles se révèlent vraies dans de nombreux cas. La deuxième explication sont les antécédents. L'histoire de l'élu. En quelques sortes, les pouvoirs viennent du vécu et du ressentit de l'intéressé. Ce qu'on lui a enseigné, à quoi il a été confronté et d'autres choses encore reviennent souvent dans le ou les pouvoirs de l'élu... Dans votre cas, je ne peux pas dire que votre pouvoir viendrait de la deuxième raison, je ne vous connais pas encore assez pour cela, mais la première tiendrait la route. J'ai suivis quelques conversations de vos soldats, relatant déjà les exploits d'aujourd'hui. Mon idée de votre pouvoir suit : le feu... à l'état pur. Je ne pourrais pas être plus précise. Je suis désolée. Veuillez m'éclairer, je vous en prie. Suis-je dans le vrai ?

Elle avait parlé vite, au début. Comme si elle récitait une leçon, tout pour s'empêcher de réfléchir plus loin.

Après avoir desenglé ses pièces d'armures Aiolia se tourna vers Eléanore détourna aussitôt le regard, Aiolia eut un petit sourire interieur cela étant il était vraiment interressé par les theories d'Eléanore. Il se passa un peu d'eau sur le visage histoire de se rafraichir un peu avec l'ardente bataille qui venait de se finir. Eléanore explica ses théorie qui semblait très farfelu a Aiolia en effet, celui-ci n'était pas très basé sur la réflection, cependant elle avait raison tous se qu'elle disait était exact a croire qu'elle l'avait toujours connu. Puis elle s'arreta un peu et continua, Aiolia ne comprit pas mais vu qu'elle continuait c'est que tous allait bien.

" En effet gente dame vous etes dans le vrai, pour pouvoir est bine en rapport avec le feu a l'état pur cela dit je vous laisse le deviner" il sourit et continua, "Mais comment avez-vous pu dire toutes ses chose vrai sans me connaitre cela m'intrigue ?"

En réalité, se n'était qu'un excuse pour entendre la voie d'Eléanore, elle était si douce qu'elle appaisait Aiolia.

Puis il prit un tabouret et se rapprocha d'Eléanore, de sorte qu'il soit face à face, comme sa il pouvait la regardé droit dans les yeux et pouquoi lire quelque chose sur ses sentiments, en tous cas son but premier était de regardé Eléanore dans les yeux pour qu'elle essaye de lire se qu'il commençait a éprouvé pour elle se qui sera difficile était donné qu'Aiolia ne plu montrer ses entiments depuis la mort de son père. Mais comme on dit l'espoir fait vivre.

Eléanore regarda Ailoia s'asseoir près qu'elle, trop près peut-être, mais elle ignora ce détail. Il lui demandait de parler, alors elle parlerait, ce serait-ce que pour le mettre de bonne humeur. Elle était contiente de s'éloigner du sujet premier, mais si elle y revenait maintenant, il comprendrait. Elle s'esplica donc :

J'ai... mes moyens. J'ignore si vous avez déjà assez entendu parler de moi pour le savoir, mais on dit de moi... que j'ai l'oeil. L'oeil pour voir ce qui est invisible, de lire ce qui est illisible. Lorsque je regarde dans le regard de quelqu'un, je suis capable de voir...

Elle était justement plongée dans son regard. Celui du capitaine était comme de l'eau agitée qui n'attendait rien de plus qu'on ne la calme. Il voulait qu'elle voie, ainsi qu'il voulait qu'elle sache... Et ça s'était fait d'un naturel tellement répété qu'Eléanore ne put rien faire pour l'arrêter. Elle pouvait voir son âme, son fort intérieur et surtout, son coeur. Le sien s'arrêta de battre. Elle ferma les yeux, puis reprit.

" Je suis capable de voir qui sont les gens. D'un clin d'oeil, je sais qui ils sont. "

Elle ferma les yeux et baissa la tête. Elle ne pouvait pas résister, car elle avait promit. On ne lui ment pas, à lui; on ne ment pas au Prêtre...

Aiolia buvait les parole de la belle demoiselle, il ne voulait plus qu'elle s'arrete, mais il devait rester raisonnable, après tout elle était une dame du temple et lui un capitaine renommé, il serait amené a voyager beaucoup et par conséquent ne pas la voir beaucoup.
C'était le première fois qu'aiolia ressentait cela a se point, et comme qui dirait il y a une première fois a tous.
Puis Eléanore se plongea dans son regard, comme il avait espérer, a se moment la Aiolia eut chaud, il se sentait bien et heureu, un flux d'emotion le parcourait et il espérait qu'il fasse de même pour Eléanore. Son coeur battait a cent a l'heure. A la fin de se passage intense elle ferma les yeux, Aiolia en profita pour se calmé un peu en esperant qu'elle est vu se qu'il eeprouvait en se moment.

" Je comprend mieu a présent gente dame, vous avez un don extraordinaire, cela doit être facinant de lire dans les gens comme dans un livre ouvert mais n'est-ce pas un peu effrayant ?"

Il s'efforcait de faire la conversation car il sentait qu'il pouvait craqué a tous moment

Eléanore se sentit trembler. Elle était impassible et s'en voulait. Elle ne savait que penser. Elle ne voulait pas, mais ne pourrait pas refuser. Tant de pensées contradictoires dans son esprit, tellement qu'elle n'aurait cru cela possible. Elle avait toujours su ce qu'elle voulait, ce qu'elle savait et ce qu'elle ignorait. Il y avait toujours eu trois parties bien distincts, et aujourd'hui, les frontières entre elles avaient été détruites. Elle ne pourrait pas refuser. Même si elle le voulait de toute son âme. Elle ne pourrait pas le dire, non plus, car le pouvoir de son suppérieur était trop fort.

Elle regarda le visage d'Aiolia, comme cherchant un point fixe où placer son regard, mais en évitant les yeux de préférence. Elle dut se résoudre à répondre à l'interrogation du capitaine :

Je possède ce pouvoir pour la deuxième raison. J'ai été éduquée pour être la meilleure. Ce pouvoir m'aide à l'être, à sa manière. Jusqu'à maintenant, il ne m'a jamais causé de tord.

Cette phrase était plaquée de sous-entendus qu'elle aurait préféré ne pas laisser entrevoir. Mais c'était trop tard.

Ce que je lis dans vos yeux, je ne le connais pas. Je le ressens sûrement, quelque part dans le fond de mon être, mais il est loin de moi. C'est un intru dans mes pensées.

Aiolia cherchait encore desespérement un point ou fixé son regard mais il n'arrivait pas a eviter le regard d'Eléanore. Comment pouvait-il faire ?? ressentait-elle la même chose que lui ?? tant de question sans réponse, sa en devenait insupportable pour lui. Puis elle le regarda en evitant son regard

* Est-elle troublé comme moi je le suis ??*

Puis elle laissa entrevoir un sousentendu, cette foi il en était sur, elle ressentait quelque chose pour lui. Puis elle le lança carrement, elle ressentait quelque chose pour lui mais ne savait pas l'expliquer.

Après l'entente de ses parole Aiolia se leva, alla jusqu'a la porta ou un garde était posté, et dit

" Fait en sorte que personne me derange"

- Entendu Capitaine

Puis il se tourna vers Eléanore et dit

" Je ressent exactement la même chose demoiselle, en se moment même vous me prenez toute mes pensées"

Il se rapprocha d'elle et lui l'embrassa, se baiser n'était pas trop long ni trop court, il ne voulait pas quelque le prenne mal, mais il ne pouvait plus se controler, il avait ceder a la tentation. Il posa delicatement sa main sur la joue d'Eléanore et dit

" Je ne vous est pas offenser j'espère ? Si je l'est fait veuillez m'en excusé. Mais il fallait que je le fasse, je commençait a devenir fou"

Aiolia venait a peine de gouter a ses lèvres qu'il avait déjà envie de recommencer, cependant il ne le referrai pas maintenant car il voulait avoir l'opinion exact d'Eléanore.

Eléanore regarda l'homme se lever et s'écarter vers la porte de la tente. Quelques mots soufflés à l'oreille du garde suffirent à le faire s'éloigner de la tente, tout en restant vigilent sur son entrée. Puis il revint vers elle et lui parla. Une phrase simple mais pourtant, elle sonnait faux aux oreilles d'Eléanore. Aiolia s'approcha, s'approcha... s'arrêta bien trop près puis l'embrassa. La jeune serviteuse du temple, ne s'y étant pas attendue, regarda les yeux clos du capitaine. Lorsqu'il décolla ses lèvres des siennes, une vague de sentiments contradictoires l'innonda intérieurement. Crainte, bien être, envie de s'enfuir, envie de recommencer, envie de se changer les idées, envies d'oublier. Amour...

* Ca ne peux pas être ça... je ne peux pas aimer. C'est impossible. *
Elle se leva d'un bond et marcha quelques pas. Son visage était maintenant dur, ses sourcils étaient foncés, ses lèvres crispées. Elle ignorait contre qui elle était dure. Aiolia, pour avoir éveillé en elle des sentiments, ou contre elle. Son exès de colère était parfaitement maîtrisé. Preuve qu'elle se maîtrisait encore. Elle se maîtriserait toujours. Elle le savait. Elle se tourna vers Aiolia, avec ce masque de colère. Elle dégaina sa rapière et la pointa en sa direction.

Le Prêtre m'a envoyé ici pour que je lui rapporte des réponses. Il vous soupsonne d'avoir avertit les villageois de notre arrivée. Si les paysans ont avertit le clan adverse, il se peut que même avec toutes les forces que nous possédons, nos chances de réussite à atteindre le temple soient divisées par la moitier. C'est de votre faute, avouez !

Elle avait finit sa phrase en montant encore le ton. Son arme tendue, elle fit tourner la pointe, comme pour ordonner une réponse rapide.

Aiolia regardait profondement Eléanore, mais celle-ci se leva l'air très en colère, elle avait le regard dur, jamais il ne l'avait vu comme sa, remarque ceci était un peu normal puisqu'il se connaissaient depuis quelque heure. Cela dit Aiolia vu un peu choqué et lorsqu'elle degaina sa rapière Aiolia pensa.

* Oups! j'ai du la vexer, elle rigole pas la*

Puis elle raconta se qu'Aiolia avait soupçonné pendant toute la soirée, les prête le soupçonnait. A cet instant Aiolia voulu aller cherché ses épées mais cela n'en valait pas la peine, après tous il n'était pas en état de se battre sur contre Eléanore, alors autant avoué, avec un peu de chance elle dira rien.

" En effet, gente dame, j'ai effectivement avertit les villageois de notre arrivé, ceci pour éviter une boucherie de villageois inutile. Cela dit, les villageois non pas prévenu le clan adverse pour la simple est bonne raison que j'ai inflitré un de mes soldats dans leur rend."

Malgré tous les sentiment qu'il eprouvait pour elle, Aiolia ne peut s'empecher de partir au car de tour car pour une fois qu'il montrai c'est sentiment, cela lui était defavorable.

" Voila vous étes contente j'ai avoué! allez dire tous cela a vos chef mais sachez tous de même que mes sentiments pour vous son réel"

Il alla a la porte près a lui ouvrir avec une certaine deception.

Pendant se temps il reflechissait, et se dit que tans qu'a tous perdre, il allait l'embrasser une dernière fois histoire de gouter a ses lèvres une unique dernière fois et devinez si les sentiments d'Eléanore était sincere.
Il tourna les talon est alla de se pas l'embrasser poussant la rapière a l'aide de sa main, se fût le même baiser que precedement, a travers se baiser il resentit les doutes d'Eléanore mais il y avait une majeur parti de sentiments sincère.
Après se baiser il alla s'asseoir sur son lit et allait s'appreter a dormir une fois Eléanore parti.

* Il a avoué... * pensa-t-elle. Jamais elle n'aurait cru qu'il avouerait. Intérieurement, elle était persoidée qu'il était innocent. Qu'il n'aurait jamas fait une chose pareille. Eléanore tenait sa rapière droit devant elle, comme un bouclier en face de toutes les véritées acquises en si peu de temps. Il avança vers l'entrée, puis se résigna et revint sur elle. Elle laissa tomber sa rapière et laissa le capitaine faire ce pourquoi il était revenu. Il l'embrassa de nouveau... deux fois en quelques minutes. Ce fut trop pour elle.

Elle leva les yeux vers ceux d'Aiolia. Elle y lut le dernière chose qu'elle avait besoin de savoir. La dernière chose qui contribuait à sa désition.

Gardez-la.

dit-elle en jettant un dernier regard vers le sabre incrusté de diamants qui gisait sur le sol.

Puis, elle partit. Elle se dégagea de l'emprise du capitaine, puis partit en courant.

Gabranth venait droit de la capital sous les ordres de Callias, il décida donc de se dirigeait vers la tente d’Aiolia qui était au même grade que lui et qui était le plus gradé du campement.
Il regarda fièrement les soldats, affûtant leur épée pour la prochaine bataille ou soignant leurs blessures.
Une fois devant sa tente une femme y sortit en courant, Gabranth l’esquiva de peu et rentra dans la tente d’Aiolia, il lui serra la main, il n’étaient pas vraiment avis mais il se côtoyer souvent, étant les seuls capitaines de l’armée du lion.

"Je viens de la pars de Callias, il est ravi de l’issu de la bataille, et il te tire son chapeau, mais il m’a envoyé avec des hommes pour que le travail se fasse plus vite, nous devrons donc travailler ensemble pour la prochaine fois, sa ne m’enchante gère mais c’est un ordre alors je le respecterais… J’ai vu une femme sortir en courant de la tente, Aiolia peut mener des milliers de soldats mais une femme sa c’est impossible."

Gabranth sortit un rire gras et amer, comme à son habitude, son rire était peu discret et peu aprecier des autres, car se rire prouvait qu’il se moquait de la personne.

"Bon, quel est ton plan pour la prochaine bataille et ou est-ce que sa se passe ? Et puis Callias ne m’a pas dit pourquoi nous fesont la guerre au nomades, il y a une raison particulière ?, je m’en souci très peu mais bon, c’était pour savoir si tu été au courant."

Une fois Eléanore parti, Aiolia s'allongeat sur son lit en espérant qu'elle revienne mais a sa grande surprisece ne fut pas elle qui revennait mais Gabranth qui arriver

* Qu'est-ce qu'il fait ici celui-la*

" Quoi !! Travailler avec toi, pourquoi il me fait cela mais puisque ceci est un ordre alors bienvenu dans notre campement, et pour ce qui est de la femme melle toi de se qui te regarde ok ??"

Aiolia ne supportait pas son rire mais il ne le fît pas voir car il ne faut jamais montrer ses sentiments de toute sorte qu'il soit.

" Avant de répondre a tes questions, tu est venu avec combien d'homme ?? Nous nous battons contre ses nomades car d'après se que j'ai entendu dire par certain prête, Boros veut que l'on demolisse des intrus au temple de Shango. Donc j'allais proposer a nos hommes d'y aller directement plus vite on y sera plus vite se sera finit et puis j'ai est marre de me battre contre des moins que rien en esperant que les intrus soit plus fort."

Il regarda Gabranth lui dit

" A moins bien sur que tu est peur ??"

Ceci n'était pas vraiment une moquerie c'était surtout pour voir s'il avait une autre idée prevu, et puis pour voir ses motivation.

Gabranth écouta blablater l’homme qui était en face de lui tous en jouant avec une épée présente dans la tente en cassant sa lame peu à peu.

"Oh mon pauvre Aiolia, tu es susceptible en plus de ne pas gérer tes relations, mais c’est vrai qu’elle était pas mal, se sera pour la prochaine fois.
Je suis venu avec 500 soldats histoire de remplacer les morts et puis ma garde personnel, bien qu’il soit inutile vu leur force mais bon, ça fait des emplois et c’est la procédure."

Apres qu'Aiolia demanda si Gabranth avait peur, Gabranth recommença à avoir un rire, et celu-cii était encore moins discret que l’autre.

"On pars quand tu veux et où tu veux, et je serais en première ligne avec tous les soldats qui se font tuer généralement, on verra bien si j’ai peur, Mr Aiolia qui reste derrière ses petits soldats, tu pourrais te blesser, c’est sur que sur un champ de bataille ton pouvoir ne servirais juste a tuer tes propres soldats, heureusement que tu sait te servir d’une épée."

Gabranth s’amusait à présent en jetant les morceaux d’épée contre la toile de la tente, au troisième jet on entendit un grand cri venant de l’extérieur de la tente, Gabranth hocha la tête et commença à faire les 100 pas.

"Bon alors on attend quoi ! J’ai vu les soldats je pense qu’il doive être prêt, on laisse les blesser lourd ici, remplacer par mes soldat et on va éliminé les intrus sauf si tu doit recevoir une autre dame, Don Aiolia."

Gabranth repris son rire habituel et attendit la réponse d’Aiolia.

Aiolia voyait Gabranth joué avec l'épée d'Eléanore il eut envie de la lui reprendre des main mais elle était déjà morte alors il fallai laisser joué le petit Gabranth.

" Ecoute je ne sait peut être pas gerer mes relations mais au moins je passe du bon temps contrairement a toi"

Puis Gabranth, se croyant plus malin que tous le monde dit qu'il était le seul a aller se battre avec ses soldats se qui était faux car Aiolia avait changer depuis le temps.

" Moi aussi je vais avec les soldat en première ligne, tu n'a pas entendu de recit sur mes dernière bataille Gabranth, toi qui est toujours au courant des bataille ?? J'ai changer depuis le temps ou je suis devenu capitaine, j'espere juste que tu ne sera pas devant moi devant le bataille pour ne pas te blesser accidentellement !!

Puis il commenca a faire les 100 pas, Aiolia attendit deux ou trois minutes histoire de voir ou était les morceau de l'épée d'Eléanore et dit

" On est parti, attend moi dehors je me prépare et previens tous les soldats que nous partout pour le temple de Shango!!"

Une fois Gabranth parti de sa tente, Aiolia rammasa tous les débris de l'epée d'Eléanore ainsi que son manche, appella un garde qui devait rester la pour soigner les blesser et lui ordonna de la réparer, il lui dit qu'il la reprendrait a son retour.

Aiolia mis son armure prit ses deux épée et sorti en crient

" SOLDAT EN ROUTE POUR LE TEMPLE DE SHANGO !!! "

Hj: Beaucoup de blabla dsl pas d'inspiration pour rp.

Gabranth sortit doucement de la tente d’Aiolia, une fois dehors il admirât les soldats qui s’affairait tous aux derniers préparatifs avant le départ pour le temple.

"Soldats ! Dépêchez vous votre capitaine va bientôt donnez l’ordre de départ, soyez tous prêts dés qu’il sortiras et gloire à Aiolia"

Tous les soldats reprirent en coeur "gloire à Aiolia", Gabranth avait fais sa pour voir si les soldats respectez Aiolia, peu après tous les soldats étaient ranger en colonnes et dés que Aiolia leur donna l’ordre il se mirent en route.

"je vois que tes soldats te respectent, tu est un bon capitaine sur ce point, combien de temps que tu est la déjà…3 ans c’est sa tu est arriver peut après moi et si sa continu tu commandera aussi bien que moi."

Gabranth recommence son rire gras mais avant qu’il n’est eu le temps de le savourer, les soldats c’étaient brusquement arrêter, Gabranth passa devant pour voir se qu’il se passait, il fut surpris quand il vu un demi milliers de nomades fourche à la main qui essayait de leur barrer la route, aucun de se distinguait des autres, tous avait l’air pauvre et affamé. Gabranth se remit à rire et s’approcha seul des nomades.

"vous croyez vraiment que vous allez nous arrêter vous êtes vraiment ridicule, partez si vous ne voulez pas mourir…Je vois que personne ne veux partir dans se cas."

Gabranth continua d’avancer il s’arrêta et retira le gant de son bras gauche, il serra le point et tapa le sable sous ses pieds, un gigantesque raz de marée de sable se dirigea vers les nomades, beaucoup se mirent à fuir et beaucoup d’autre furent blesser, il restait une cinquantaine de nomade debout toujours fourche à la main.

"Vous êtes courageux, j’aime sa, Soldats !!" 500 soldats sortirent du rang de l’armée rouge,"Tuez les tous, pas de pitié ! Je ne veux aucun mort, Go!"

Les 500 soldats se mirent à courir vers les nomades pendant se temps la Gabranth remit son gants, et se remit à coté d’Aiolia.

Et encore je suis droitier, il éclata de rire à nouveau,"ces soldats sont ma plus grande fierté je l’ai est choisi moi-même et entraîner un par un, les plus faibles sont rester à la capital."

Mr ! Les nomades n’ont pas résister longtemps, et la plupart on capituler, aucune blessure grave n’est à déplorer, mais N°246 à un problème.

"Ghis ! "

Un soldat roux et frêle se mit à courir vers Gabranth, il avait une main ensanglantée.

Mr, c’est mon…

"Ton pouvoir, oui je c’est, je l’aime bien lui c’est un petit nouveau mais il à du potentiel, bon concentre toi, avec ton autre main, montre moi ton pouvoir concentre toi bien avant de l’utiliser."

La main valide de Ghis se transforma peu à peu en feu puis ton son bras.

"Voila ! Maintenant concentre toi bien avant d’utiliser ton pouvoir, retourne à ton rang, il à le pouvoir le plus puissant de mes soldat je pense même si il ne c’est pas l’utiliser, transformer son corps en feu peu s’avérer cruciale en bataille."

Les soldats étaient repartit contournant les cadavres des nomades.

"C’est triste que des civiles meurt ici, j’ai appris qu’il y avait de grand guerrier ici, j’espère qu’ils sont dans le temple et tiens d’ailleurs, on est loin ?"