La terre des dieux
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 Mirahil

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Mirahil
Louve - Modo
Mirahil


Féminin Nombre de messages : 37
Age : 33
Clan : Loup
Pouvoir : Parle aux loups ...
Age (jeu) : Nomade 'Louve ^^'
Date d'inscription : 27/07/2007

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MessageSujet: Mirahil   Mirahil Icon_minitimeVen 27 Juil - 18:44

Nom : Elle le déteste tellement qu'elle refuse de l'entendre, de le dire et même d'y penser.

Prénom : Mirahil

Age :
20 ans

Clan : Le clan du Loup

Profession : Nomade

Qualités et défauts : Intense Mirahil. Impitoyable et cruelle comme l’est la nature dans sa puissante beauté. Etincelante et impressionnante. Incroyable humaine imprévisible et secrète. On ne peut comprendre son fonctionnement sans se mettre dans la peau d’un loup. Elle se base sur son instinct et sur ses sens ce qui la rend imperméable aux mensonges et à la fourberie. Mirahil voit clair dans le jeu de la personne qui est en face d’elle rien qu’en observant son attitude. Elle déteste le regard des hommes et leurs humanités. Elle est fascinée par un rien, du moment qu’il vient de la nature, sa mère. Elle est impulsive et ne réfléchi pas avant d’agir, sa colère éclate a tout bout de champ et le loup et le cheval témoigne de ses sentiments les copiant comme dans une véritable meute. Si l’on touche à l’un deux, elle devient une véritable furie et ne calme qu’à la mort de celui qui a osé y toucher. Sous ces traits de caractères se cache un être faible (du point de vue humain) et une profonde tristesse. Il est facile de la prendre par surprise ou de la brisée. Mais elle se cache sous une véritable carapace qu’il est difficile de soumettre.


Description physique : Mirahil est une louve. Une louve qui se confond dans la nuit et dans le clair de lune. Qui vagabonde légère et rapide, fine légère et musclée : une louve doit savoir vivre seule, elle doit pouvoir braver le monde car elle est un prédateur que tous veulent voire tomber. Mirahil a les cheveux presque gris, un beau gris avec des cheveux pas blanc mais argentés. Elle a les yeux noirs et provocateurs. Sa peau est un clair de lune, une mélodie dédiée à la nuit. Belle Mirahil sans pudeur et sans fin. Intense telle est le mot, mais cette beauté plus étrange et inquiétante qu'attirante, elle la déteste. Elle refuse de se voir, méprise son corps et refuse tout compliments. Et ce quel déteste le plus c'est le regard des hommes qui la blesse et la met en rage. Alors comme toute louve qui se respecte elle sort ces crocs et tuent, bravant le danger, bravant le monde.


Histoire :
L'enfant dort, silencieuse, elle a 14 ans et vit dans une maison reculée. Elle ne sent pas le danger, pourtant elle devrait. Les louves doivent savoir, doivent sentir : l'instinct cela s'appelle l'instinct mais c'est bien plus qu'un mot, bien plus qu'un petit doigt. C'est un 6ème sens, le plus important chez les loups. Hors la petite fille dort, envahie par les loups qui hantent ses rêves, par les mélodies de leurs voix. Elle les aime tellement fort, elle les aime vraiment, sincèrement. Même si leur maison est loin de la forêt, elle s'y rend ... souvent ... Mais son père a chaque fois qu'elle revient lui crie des mots qu'elle comprend, lui hurle des sons qui blesse son ouie, pourquoi ne comprend-t-il pas qu'il n'a pas besoin de crier : les loups entendent très bien. Mais il ne comprend pas, il maudit l'enfant qui se croie louve, alors qu'il voudrait d'une grue. Pourtant il a tout fait pour qu'elle le devienne, il a essayé de la convertir, tous les jours il lui parle de la voix de son dieu. Ses paroles finissent quand désespère il essaye de dévaloriser Shango, il lui murmure alors que ce dieu impie à été tué par les autres, brisé par sa haine et son désir de tout posséder. Mais il ne comprend pas : Mirahil aime le dieu mais surtout elle aime les loups, les loups si beau, si fort, si rapide, les loups qui hurlent à la lune des mélodies d'une éternelle, immortelle beauté. L'enfant aime a chanté avec eux, essayant de les imiter. L'enfant caresse le rêve d'en être un, c'est son désir le plus profond. Le père lui parle des grues desesperement et elle acquiesce ... des fois ... pour lui faire plaisir ... ou pour qu'il se taise et la laisse contempler la lune, heureuse ... Le père lui a appris les arts martiaux, depuis ses quatre ans, il croyait qu'elle serait l'une des meilleures grues. Il a réussi à lui apprendre tous les arts sans armes, et elle s'entraîne souvent, mais elle n'est toujours pas une grue. Et ses arts qu'elle garde parfaitement grue quand son père est la, devienne plus prédateur, plus loup lors de ses entraînements. Devant son mutisme, l'homme un jour la battu exedé par son silence. Sa mère alors avait rugi et s'était mis entre les deux, mais mal était fait. Il y eut un énorme hématome sur la peau blanche de l'enfant, il disparut, peu après. Mais bientôt de nombreux autres vinrent se rajouter sur la peau, marque du plaisir qu'avait découvert l'homme en la battant. L'enfant subissait, sa mère venait à son aide et bientôt elle aussi a commencé a planquer ses bleus. Pourtant les deux femmes ne sont pas parties, elles n'avaient pas le choix, l'homme était reconnu comme brave et aimable par les autres, il était même assez connu. Si elles s'en allaient, l'homme les tuerait, la petite fille en était sure et elle refusais d'avoir la mort de sa mère sur sa conscience. Alors elle lui faisait jurer de rester à la maison.

On s'habitue aux bleus plus facilement qu'on le croie, on s'habitue au mal facilement et le temps qui te fait haïr de plus en plus te rend plus forte. Puis un jour la mère ne se leva pas, elle était fatigué. Fatigué pour l'éternité jusqu'à la fin 2 ans après. Elle qui a eu une vie avec une fin si malheureuse est morte comme une reine. Elle avait demandé à sa fille de l'emmener dans la forêt et de partir, alors l'enfant au loin sur une colline, avait chanté. Si belle était sa voix, elle avait chantée l'histoire d'une vie, l'histoire d'une femme. Elle avait chanté et sa voix avait envahie le monde, le monde des loups. Alors un à un on a entendu les chants tristes s'élevé. La forêt entière se leva et chanta pour la femme du clan du loup qui allait mourir. Le chant dura toute la nuit et quand le soleil vient la fille se tue et s'évanoui. Quand elle se réveilla deux heures après, elle avait chaud, deux loups étaient tous contre elle la protégeant du froid. Quand elle se leva, ils se levèrent et disparurent. C'était la première fois qu'elle utilisait son pouvoir sans même le savoir.

Il y avait dans l’enfant quelque chose de différent, elle n’était plus la même. Elle était désormais celle qui parlait aux loups, elle était louve … Son père bien sur n’en eut vent …


Malgré les bleus, les hématomes, malgré les tourments et les reproches, malgré le sang ; l’enfant décida de rester près de son père. Elle n’avait aucun endroit où aller, aucun endroit où vivre … à part celui-ci. Et s’il y avait la menace de son père, il y avait aussi la forêt, les loups et sa mère qui hantait les lieux. Alors elle resta dans la maison familiale, continuant son apprentissage tant bien que mal des arts martiaux, de la haine et de son pouvoir mystérieux. Trois ans passèrent … La jeune fille s’endurcit tant en âme qu’en corps. Son esprit et son corps mûrirent. Sans qu’elle ne s’en rende compte, son père commença à la regarder de ce regard qu’elle trouvait normal et qui ne l’était pas vraiment.

L’enfant dort paisiblement, silencieuse, elle a 14 ans. Elle ne pressent pas le danger ... elle devrait : l’instinct d’un loup ne chancelle pas. L’homme la regarde dormir, il la maudit de tout son être. Elle est, elle a toujours été son vice, son défaut, sa tare, sa hantise. Belle comme jamais il n’a vu de femme, elle dort. De cette étrange beauté grise. Il se murmure pour lui-même amère « Une beauté de louve ». Pour la première fois il avoue son échec. Mais il sait, il savait, il a toujours sus. Les loups sont immuables, ils sont ! et a jamais. La mort, la souffrance ne les changent pas. Ils agissent selon leurs instincts, obéissent à leurs règles incompréhensibles pour l’homme. Ils hantent la forêt et la protégent du genre humain. Ils connaissent de leur monde chaque arbres, chaque pierres, savent déceler l’ennemi rien qu’en regardant son regard et décèle une présence à un souffle d’air. Ils aiment la forêt, leurs cœurs, leurs âmes ne sont qu’un avec elle. Peut-être était-ce cette beauté sauvage qui fascinait l’homme ? Sa fille était une louve autant dire inceste et inhumaine. Shango était le traître, le fourbe, pourquoi le choisir ? Son dieu à lui était pur, il était beau, il était vivant. Mais non elle avait choisi l’inchoisissable …

Le père avait bu, plus que de raison. Quand il posa la main sur son visage, l’enfant bondit. Ses yeux se chargèrent de douleur et de peur : il y avait un danger dans son père, plus fort que jamais.



La nuit fut longue. Elle laissa l’enfant meurtrit au plus profond de son âme. Dans le lit taché de sang, dans la blessure calcinante de son ventre, dans ses cuisses et ses bras bleuis par les coups, l’enfant était morte.

L’homme ne s’en était allé qu’au matin, laissant l’enfant brisée. Il ne devait revenir qu’au soir. Alors la femme se lava, et revêtit ses plus beaux habits, elle prit aussi le bijou de sa mère qu’elle accrocha à son front. Puis elle attendit ….

Des heures, des minutes des secondes, inlassablement elle attendit …

Puis il arriva et aussitôt il comprit. Il ne dit mot car cela aurait été inutile. Le père s’en voulait à mort de la folie qui l’avait pris. Le père et sa fille se mirent en position, en garde. Les arts martiaux allaient enfin servir à l’adulte qu’était devenu l’enfant. Quelques minutes ils restèrent immobile l’un devant l’autre. Les loupas arrivèrent, silencieux, et les encerclèrent. Ni l’un ni l’autre n’y prirent garde. –Immortel tableau que leurs âmes déchirées, que leurs mains qui allaient se baigner de rouge, que leurs cœurs brûlés d’une haine sans limite. La mort volait telle une charogne aussi dessus de leur corps. Elle allait frapper ….- Dans le murmure du vent commença le combat. Intense, le plus important de toute une existence. La femme se battait contre des années d’esclavages, contre une nuit terrible, contre tous les maux qui l’accablait en tant qu’humaine. Les loups étaient là, ils la voulaient, elle était des leurs … Le disciple dans sa rage et sa haine avait trouvé une puissance animale qui la rendait plus sauvage encore, ses attaques étaient tel la foudre de son dieu, dévastatrice et rapide. Elle était la mort. La main arriva tranchante à la gorge du maître qui s’écroula. Des qu’il fut à terre les loups le dévorèrent alors qu’il n’était pas encore tout a fait mort.
La femme resta jusqu’aux derniers instants, regardant l’homme mourir sous ses yeux sans la moindre pitié, sans la moindre clémence, sans le moindre doute. Aucun frémissement ne la parcourut, rien …

Un à Un les loups levèrent la tête. Alors mu d’un même élan la femme et les loups se mirent a courir de plus en plus vite vers la forêt. Elle n’avait pas vu qu’une femme l’observait depuis le combat, une guerrière nomade au service de son dieu foudre. Celle-ci soupira. Ses pensées furent trahies par ses lèvres …

« La folie des hommes est sans fin, leur cœur est une pierre glaciale qui brise tout sur son passage. Leurs voix sèment le malheur dans l’âme des femmes. Dangereuse créature, tu as subit des tourments que bien d’autre on connu avant toi. Tu n’es, au grand hélas, ni la première, ni même la dernière. Tu va haïr chacun de leurs mouvements, de leurs souffles, de leurs regards. Nous sommes toutes passées par la. Tel est la destiné des femmes. Dans un an je reviendrais … »


Dernière édition par le Ven 27 Juil - 18:49, édité 1 fois
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Mirahil
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MessageSujet: Re: Mirahil   Mirahil Icon_minitimeVen 27 Juil - 18:46

Et la femme guerrière disparut laissant la femme courir. Silencieuse image que la course effrénée d’une humaine et de loups vars leur mère nature. Elle était libre, enfin ! Elle n’avait plus aucune entrave autre que son désir de vengeance. Elle sentait la forêt si proche alors elle accéléra encore, épuisant ses ressources, ou peut-être les rendant plus forte, les grandissant dans le besoin. Arrivée aux premiers arbres, son sourire avait déjà le ton de l’oubli.

-Nature, toi qui es si belle, prend soin de l’enfant qui vagabonde en ton sein. Protége les lambeaux de son âme, rend la de nouveau une. Souffle dans ses cheveux la mélodie de sa vie. Forêt ancestrale tu as sa confiance, ne trahis pas celle qu’on as brisée … -

Nul mot, nul verbe, nul comment, nul pourquoi.
Rien ...
Rien en ce monde ne peut exprimer cette année sauvage. Rien n’est aussi intense, puissante et violent à la fois. Rien n’est aussi beau, subtile et terrible à la fois.
On ne peut qu’enlaidir la beauté des feuilles secouées doucement par le vent. On ne peut décrire l’éveil d’une fleur, d’une herbe sans la trahir. Quel mot peut exprimer la douce fraîcheur de la mousse qui aspire les pieds à chaque pas ? Une feuille qui tombe, suivies par ses sœurs … L’odeur des champignons, l’écorce rugueuse d’un arbre et le champs d’un insecte. La forêt enflammée par ses couleurs flammes et or. Automne …
Et puis, l’air qui brûle le plus profond de son corps à chaque souffle. La neige si blanche, si belle, si parfaite qui crissent légèrement sous le poids d’une proie. La faim, calcinante qui devient une raison de vivre. Vite... Vite … Le silence avant la tempête. La meute qui s’élève et galope autour d’un cœur qui bientôt la fera vivre. Folie que ces instants de pure ivresse. La proie a peur mais elle ne tremble pas, elle agis, sa mort ne sera pas inutile. C’est l’ordre des choses … Les hurlements quand vient la lune et les chants de tristesse qui accompagne les morts. Et le vent qui toujours guide les loups vers le sang.
On ferme les yeux pour n’être qu’un et on les ouvre sur un monde si beau. La femme est la, sauvage plus que jamais et ses yeux de louve trouve enfin leurs raisons. Ses yeux qu’elle ferme quand viens la chasse pour ne se laisser guider que par son instinct. L’acuité de sens s’était encore approfondie, les sensations s’ouvraient à elle comme un livre ouvert. Elle ne faisait qu’un avec le souffle de la terre, avec les branches des arbres et les animaux de la forêt.

A côté d’elle, un monstre … d’une beauté inimaginable. De la violence brute mais claire, un silence de marbre ou l’hurlement grave. Des crocs blancs, la posture d’un monarque et la fourrure grise. * Ame-louve là-bas. * Un crissement qui guide, la femme s’accroche au pelage pour s’aider à courir encore plus vite. Le loup est géant, dans la meute il se tient à l’écart mais quand viens la chasse, dieu il dirige et emmène la meute au confins de l’union et de la force. Hiver …

Les bourgeons, un à un, qui s’éclaire d’une nouvelle vie. La femme a survécu au long hiver, les loups n’abandonnent pas leur sœur. La main posée sur le géant qu’elle ne quitte plus, elle regarde la forêt, jour après jour, se réveiller. La pluie qui n’en peux plus de tomber et le soleil qui se réveille doucement … Printemps
La chaleur du soleil sur la peau, la foudre qui éclaire et qui enflamme. Les arbres si verts. Chaque seconde est un apprentissage de la vie, du monde et du temps. Dans ce monde naturel existe ce qui tabou pourrait blesser les hommes mais qui fait grandir encore les loups.

*J’aimerai que le monde s’arrête...*

*Ce n’est pas possible Ame-louve, ne te tracasse pas avec le temps, tu es différente.*
*Toi aussi. *

Le loup avait changé au contact de l’humaine, le loup prenait des pensées moins animales. Mais il y était prédestiné, monstre de la nature, ses yeux étaient d’un bleu … étrange.

-Le loup avait des yeux d’homme.
La femme avait des yeux de louve.
Nulle différence entre eux … -

Eté …
Le son grave du cor, cette voix grave qui s’élève dans le silence paisible de la forêt. Si belle, si triste … ensorcelante. Des loups vont mourir aujourd’hui …
Les arbres immobiles ne peuvent rien faire. Les rires gras des paysans pour tromper leur peur viscérale. Les loups ont trop tué …. Le cor qui résonne et qui appelle la mort. La fuite … Mais les hommes ont des chevaux et des chiens. La course rapide brutale, le silence des loups et les cris des hommes, les cris de plus en plus près … et puis la femme s’écroule, du sang sur son épaule qui brille. La mort qui s’approche a grand pas et prend nombre de loup. Le loup aux yeux bleus qui s’allonge a côté de sa sœur. La femme s’accroche à la fourrure, le loup se relève et ses pas s’enfoncent un peu plus que d’habitude dans la neige. La course de nouveau, les hommes ne le voient pas, son fardeau alourdit ses allures mais il continu à courir. Puis il s’arrête, nul bruit autour de lui a part sa respiration, celle de son fardeau et la guerrière en face de lui. Faut-il qu’il attaque ? Il regarde la femme avec suspicion, puis la suit quand elle se met à avancer. Son étalon noir à ses côtés avance lui aussi, calmement comme s’il n’y avait pas de prédateur à côté de lui, il est confiant et ce trait de caractère se propage vers le loup, de toute façon il n’a pas le choix sa fourrure est gorgés de sang rouge, mais ce n’est pas le sien …

La femme se réveille, le loup est allongé tout contre elle, il dort. En face d’elle une guerrière et une jeune fille d’a peu près son age. Sa blessure est pansée, la femme, Iïlda la nourrit. Quand plus tard elle fut soignée, elle resta dans la maison en compagnie de son loup. Etrange comportement instinctif. Sa meute était morte, il ne lui restait plus qu’eux, étrange tribu que jeune fille, une louve, une guerrière, un loup et un cheval. La guerrière lui réapprit à parler, elle lui apprit la courtoisie, le maniement du sabre et l’écriture. Iïlda lui parla de son dieu, le dieu de la foudre qui était aussi celui de la femme. La femme louve se choisit un nom, un nom d’humain car son nom de loup n’était pas prononçable simplement. Elle se donna le nom de Mirahil. Son loup gris pris le nom humain de Sámamori (Esprit de la nuit), vite raccourci par Saori. Ils vécurent heureux 3 ans. 3 ans où l’amitié entre Mirahil et Shira (la jeune fille) fut renforcée, elles s’idolâtraient l’une l’autre. Trois ans où Mirahil apprit à monter à cheval, où son loup devient encore plus fort, plus puissant. Puis un jour elle apprit le secret de ses deux sauveuses : elles étaient atteintes d’une maladie incurable qui les brûlaient de l’intérieur. Shira n’était pas une femme mais un homme, Mirahil lui en voulu, à l’androgyne aux longs cheveux noirs. Elle haïssait tout les hommes et se sentait trahi par ses longues années où il l’avait trompé. Et ce n’est que sur son lit de mort qu’elle lui pardonna, promettant de ne pas juger les hommes par leurs sexes à son ami. La guerrière mourut peu après lui donnant son sabre, sa fortune et son cheval. Celui-ci n’accepte d’être touché que par le loup ou Mirahil. Ainsi Mirahil partit sur les routes, où d’ailleurs elle y ai encore, nomade du clan des loups avec son étrange meute.

Arme blanche: Aucune

Pouvoirs : Elle parle avec les loups ...

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Dernière édition par le Sam 28 Juil - 11:53, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mirahil   Mirahil Icon_minitimeVen 17 Aoû - 1:08

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MessageSujet: Re: Mirahil   Mirahil Icon_minitime

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