L'arrivée d'une étoile filante... [PvGaara]

Pléinière de se raison, confesser l'inacessible devint alors illusoire, tandis qu'elle chutait encore vers l'océan blond. Si éclatant au jour qu'elle entrevut et si sombre de cet azur lors des nuits charmantes de fraîcheur. Une douce soufflait sur un mont érigé d'une précédent tempête d'une journée quasi-radieuse, les nomades préférant circuler sous l'ardence de l'astre solaire, plutôt que sous le danger lunaire. Particulièrement, que cette étoile maudite revenait tous les ans et quelque fois, elle perdait le contrôle pour atterir dans leur monde. Effrayant les gens, elle venait et partait sans mot dire la plupart du temps, certes cette fois-ci tout serait différent...Une prestance inégalée des univers, les scintillements irisées surplombaient la nuit aussi noire que l'infini, des traînées de lumière rendant le centre d'un blanc terrifiant. La puissance de cette vue trahissant les âges, l'atmosphère du ciel se renversa sous le charme de cette étoile. Dans un éclat mangifique, le désert accueillit des aurores boréales, dont les couleurs écarlates déchiraient la nuit, tel les transitions du soleil et de sa dame, la lune.

Soudain, elle se mit à tourner, ce rond lointain devenant la valse du zénith et l'apogée du jour en quelques secondes, le citrine s'intensifia, car le sol sablonneux approchait. Le mont s'effondra sous l'impact, alors que le sable s'envola sous un vent subit et farouche. Niana ne bougea pas, prisonnière de ce verre cristallisé par les années. Parmis les poussières d'étoiles tombant en une pluie légère, les petits amas de poudre brillant d'un rose tendre et des éclats d'or provenant de l'immense oeuf, une sphère contenait une jeune fille, dont le simple regard aurait ravi la nature de toute souffrance. D'une transparence bordée de glace, la surface pure et lisse se craquela peu à peu pour former un trou. Assez grand pour laisser voir les nouveaux arrivants en ces terres peu sûres, bien que le phénomène effraya les faucheurs ou scélérats des recoins du désert pour au moins le supplice d'une nuit. Aucun vautour ne jonchant le ciel ou insecte osant profaner l'image féérique de l'oeuf fissuré, un petit miaulement retentit.

Un petit lionceau au pelage soyeux gigotait tendrement sur le ventre plat d'une jeune fille au teint hâlé, bronzé d'un nacre finement perlé d'or, d'argent et d'azur. Son visage se tissent de joues soulignées d'un creusé sans disgrace, créant des pommettes pour cette jolie facette. Des yeux en amandes se bordent de cils d'ébène d'un dégradé unique supportant un nez sans complexitéé, bien que son ovale ne rime qu'avec la lumière qu'il projette. Ainsi, son cou chétif arbore des parures d'un or aussi étincelant que le soleil, se répandant sur ses mains fines aux petits ongles noires, ses chevilles et sa taille, tous autant fébriles que ses épaules, mais semblant dissimuler des muscles noueux, minces et forts. Couchée sur une tonne de cristaux précieux et de gemmes rares, des cascades noires ondulaient autour d'elle en touchant ses reins. Aussi libre que le vent, sa douce chevelure donnait l'impression de voler sur le dos d'un céleste ou encore de tomber dans les chutes ennivrantes de leurs reflets argentés. Toutefois, l'ombre noire d'un voile couvrait le bas de son visage en enchevêtrant le vue de lèvres rosées, mais ressortant des pointes effilées de ses oreilles. Un coeur complet ne semblant proférer que des paroles tout aussi mélodieuses, certes le silence ne faisait que demeurer, tandis qu'une poudre d'or décorait son front de pierres tout aussi délicieuses en rehaussant ses yeux clos, composant un triangle étrange cerné d'un losange blanc sur son troisième oeil. Son corps accordaient également les extrêmes de son comportement, tel ses courbes très généreuses et sa taille d'une finesse sans équivoque. Vêtue de noir, son corps se découpait dans l'halo blanchâtre de la coquille, qui peu à peu mourait dans une poussière torentielle. Du satin bandait sa poitrine simplement, ne se reliant que par une fide corde à son cou en laçant le devant, alors qu'un bas du même tissu était sa culotte cordé de soie sur ses hanches. Heureusement un voile à sa taille, d'une texture sombre et presque translucide, couvrait ses cuisses en ne se souciant point d'une quelconque candeur.

Puis, ses yeux s'ouvrirent sur ce monde, cette nuit mielleuse qu'elle reconnut d'un simple sourire. Le blanc se noyait constamment d'un feu farouche, ses iris complété d'un mauve aussi pâle que l'aurore, les toiles cisaillées d'étoiles azurées, roses, de nuit, d'or ou d'argent et de pupilles en spirales mariant la lune clair avec l'or enfouie des montagnes. Trésor des sirènes livrés aux voleurs, son regard scintillait comme un immoncellement de petites pierres coulées dans les flammes de l'enfer. Pieds nus, Niana se lava en prenant dans ses mains le jeune félin.

-Bienvenue, Black Sun...

Dit une voix lointaine d'un écho répercutant et d'une harmonie éternelle. La pluie s'intensifia, pendant que son regard violet scruta les environs, certes une brise froide la fit frémir et un bruit dans son dos la fit sursauter.

Alors qu'une pluie d'étoile scintillait sur le sable d'Oosaka, l'ancien dieu du Dieu, et qu'une fille ayant un felin pour animal compagnie, fut attérit sur ce sable même. Le seul qui pouvait être au courant n'étaut qu'autre qu'un grand bonhomme, où petit pour le peu qu'il fasse. C'était sans aucun doute Gaara, Maître du désert. Certain disait qu'il avait un grand pouvoir, le pouvoir de reprendre le rang de Dieu. Mais il n'était pas d'accord, car son amis aussi avait un pouvoir, qui était le même que Shango, mais il espérait que lui non plus ne serait pas tel...

Alors qu'elle n'était pas sortie de son cocon, un homme était déjà devant elle, vu qu'il se déplacé pendant les tempetes de sable, il savait avant même qu'elle atterissait qu'elle serait ici, à l'heure. Il n'était pas debout, car il n'aimait guère attendre, mais il n'était pourtant pas méchant face à cette instrus. Ces jambes croisés et son regard portait sur elle, il fit un léger sourire. Est ce que son signe désigant le mot amour serait ici pour elle, où est ce qu'il sourit juste pour cette jolie fille.

Il avait une haine qui lui monter au fond, il ne pouvait guère le montré, mais une deuxième image se fit à ces côtés. Il y avait deux Gaara à présent. La deuxième se rapprocha de la jeune fille, et vit le petit animal de compagnie, un petit fauve. Il s'approcha lentement, sans même prétendre qu'il était le vraie. Gaara s'en contre fichait que celui ci soit détruit, car il pouvait en faire encore et encore, tant que ces forces n'était pas finit.

Le clone arriva à la hauteur de la jeune fille, ces paroles aurait pu le mouvoir d'un sentiment, mais ceci ne fut pas le cas. Il regarda la jeune fille et mit sa main devant lui, perpendiculaire. elle ne pouvait pas reconnaître que Gaara était un clone, et son animal aussi. Car il avait comme même l'odeur d'un humain, c'était un parfait clone. Puis, il se mit à dire

- Que fait tu sur les terres d'Oosaka femme ?

Il ne voulait pas trop êtes sur ces gardes, mais il ne savait iren de cette extra terreste... Gaara était en train de poser les yeux sur l'étoile, se posant des questions.

* Elle est comme même venue de cette étoile. Qui est elle ? *

Évidemment, l'être constellaire aurait pu rire de cette alternative provenant du jeune homme. En se retournant, elle avair aperçu Gaara au loin, se dédoubler, il respirait l'odeur du sable et des humains, mais la belle ne sembla pas considérer un seul instant cet affront. Le petit félin de nuit miaula et sauta au sol, tandis que Niana regarda le double attentivement. Un haussement d'épaule allait certainement déconcerter toute possibilité de raison, en plus que la seule répons qui jaillit d'elle fut un rugissement.

Soudainement, la terre trembla sous l'écho puissant du grognement tonitruant. Difficile de croire qu'une si petite gorge put émaner un tel son, alors qu'elle ne répondait rien au maître du désert, même si elle donnait l'impression de comprendre ses mots de sa langue. L'enfant des étoiles sourit également sous son voile, son opinion demeurerait probablement secrète, mais au fond de ses yeux mauves, des étincelles rosées se marièrent au centre irisé de ses pupilles incandescentes, puisqu'elles brillaient autant que les larmes de la lune en reproduisant de nombreux arc-en-ciel.

Puis, elle miaula, la sphère lumineuse éclata en un torrent de flammèches pour venir l'entourer en illuminant son visage, mais la particularité de ses yeux s'en démarquait tout autant plus que les reflets inhumains de sa peau d'un hâle des perles, de ses vagues flottant d'un vent inconnu ou encore de l'or et de l'argent mariant sa peau, tel la soie. Sa paume s'ouvrit, l'étoile s'y logea en une petite boule évoquant la glace. La matière s'évapora, la jeune fille tomba se pencha au sol pour déposer son ami, qui griffa son voile pour la taquiner. Elle alla grogner sipureusement dans son oreille minuscule et les deux acolytes tournèrent ensemble quelques instants.

Parcontre, malgré le silence, une canne craqua au sol sous des pas connaisseurs. Une vieiile dame au dos voûté s'approchait d'eux en adressant un sourrie chaleureux à Niana, bien qu'elle ne sache toujours pas son nom. Des cheveux blancs et raides réunis en un chignon, l'ecclésiastique fit tomber sa capuche en dévoilant des yeux blancs sans pupille accomapgné de rides disgracieuses, mais d'une harmonie charmante. Arrivée près du petite lionceau et de la belle en train de jouer bestialement avec lui, un haussement d'épaule brisa l'ambiance terne, suivit d'un rire coquenard.

-Tu es enfin revenu du ciel, petite étoile? En quatre ans, j'ai cru que tu étais morte, espèce de fausse aphone!

Enfin, la vieille sénile et aveugle nomade sentit une forte odeur de sable et se tourna dos à Gaara en le croyant au sens inverse de sa présence.

-Je suis Leila, uen nomade et une veuve d'un stupide mari, qui ne mérite pas d'être mentionnée. Je me demande ce que tu fais là, petit gaillard! J'ai suivi son trajet depuis quatre heures, mais je suis encore en retard apparemment.

Leila se rendit finalement compte de son erreur et se retourna vers le double de Gaara, en faisant des pas de canards, alros que Niana essayait de montrer au petit à rugir. Rieuse, la vieille dame ne s'assit pas et décida d'expliquer ce ''phénomène'' au jeune homme, avant qu'il conclut quoi que ce soit.

-Il y a quatre ans, j'ai vu la nuit mourir sous l'incandescence d'une étoile, comme aujourd'hui. Je cherchais une rose des sables, quand j'ai vu une jeune fille nue tomber du ciel. C'était elle. Je crois que cet oeuf a une utilité évidente pour elle, vue qu'elle est habillée-_-'...Bref, je l'ai recueillie et avec le temps, je me suis mise à l'apprécier, cette maudite tête brûlée...Si tu te renseignes vers quelques personnes, tu trouveras les fameuses rumeurs sur elle. Je ne sais pas qui elle est ou encore ce qu'elle est. Tu peux ne pas me croire, mais tu n'auras rien d'elle, sauf des rugissements à en péter les tympans d'une vieille sénile, comme moi.

Sur ce, la vieille dame disparut de sa vue pour partir au loin vers sa demeure. La jeune fille avait arrêté de jouer avec son compair durant la description énigmatique de ses origines, tout en laissant le félin essayer de mordre des poussières d'étoiles en bondissant. Désormais assise au sol, Niana ne souriait plus sous son voile. Après tout, elle détestait que l'on parle d'elle, surtout quand on ne savait rien. Silencieuse, son regard remplis d'astres se posa sur lui. Lorsque des étincelles rleuisèrent dans sa paume ouverte pour aller masque son image en écrivant en des lettres fines et gracieuses:

''Tu ne sauras rien''

Niana dégageait une froideur, qui contrastait le magnétisme attrayant de ses étoiles, malgré la constantce de ses iris mauves accaparés par l'homme devant elle. Pourtant la poussière s'éternisa en imprimant une émotion cynique sur le visage sombre de la jeune fille, qui ajouta par caprice personnel:

'Je ne suis pas une femme, je suis une lionne pour préciser''

Gaara resta assis au loin, ces jambres croisé prouvé qu'il était inquiet, mais qu'il n'était pas fou pour s'approcha d'une fille qui tomba d'une étoile. Mais alors que son clone lui parlait, elle lui rugissait, était elle une animal ? Par les mots et le physique, Gaara savait que nom, vu que son compagnom était un fauve, et plus précisément un lion. Il n'avait tout de même pas le même physique. Gaara ne fit rien, et aucun geste brusque quand il vit la vielle dame.

Elle qui avait réussie à suivre Gaara, parmie la tempête et autre catastophe que Gaara pouvait faire parmie ces terres. Pour lui, les terres d'Oosaka était les siennes, et le premier qui marche sur ces terres sans avoir reçu l'autorisation, avait Gaara en face de lui. Comme cette petit femme qui sortiait d'un oeuf d'étoile. Il écouta attentivement la veille dame nommé Leila qui dévouilla la raison de cette jeune fille, mais il se posa des questions sur elle.

* Elle l'avait nommé petite étoile, pourquoi ? Parce qu'elle est tombé d'une étoile ? Non c'est impossible. Je n'y croit pas *

Pourtant les dires de Leila n'était pas fausse. Il avait bien entendu qu'une fille était tombé d'une étoile il y a quelque année, mais qu'elle revienne n'était pas possible. Le pire de tout, c'était que si elle était là, elle allait repartir. Et puis, cette Dame n'avait pas tord dans le fond, on ne pouvait rien tiré d'elle, à par quelque rugissement. Enfin c'est ce que pensée Gaara au fond de lui, quand il vit ces lettres gravé devant lui. Il ne savait pas pourquoi, mais elle parlait, elle lui parlait, par des lettres, mais c'était comme même un language.

Gaara resta muet, puis le clone disparu et le vraie se leva. Il s'approcha lentement pour finir devant elle. Il tendit la main ouverte en sa direction, paume vers le ciel et il lui dit, d'un ton meilleur encore

- Tu est une lionne ? D'accord, mais je voudrais savoir une seul chose avant de te laisser tranquille. Comment te nomme tu ?

Il n'avait pas totalement décrit lui non plus sa véritable identité, et quand on savait qu'il pouvait anéantir tout une armée dans le désert, on devait se méfier de lui. Mais lui, méfiant d'elle, voulait savoir la véritable identité de cette femme, pourquoi ? Avait il en vue cette fille ? Où voulait il quelque chose que peu de personne pouvait savoir !

-Tu ne sauras rien. répéta une voix harmonieuse, mais légèrement grave.

Pourquoi avait-elle parlé? L'enfant des étoiles constituait à elle seule un mystère aussi grand que cette terre, certes le mauve prit l'ampleur dans ses yeux. Peut-être allait-il la détruire d'un simple geste? L'inquiétude ne semblait traverser ses membres ou ses iris sans teinter d'ébène l'un de ses nombreux reflets. Elle regarda d'un oeil furieux le double disparaître en se demandant si Gaara avait un jumeau fantôme ou des sorts trop complexes pour une orpheline. Métaphore de la folie, la belle avait arrêté de soupçonner la sienne depuis bien longtemps, sans plus de ses pleurs inachevées.

-Les autres nomades m'appelle Petite étoile, tu n'as qu'à faire comme eux.

Malgré le voile noire couvrant le bes de son visage, des entrelacements dorés tintèrent, le ciel se couvrit de larmes dorées, coexistant avec l'argent, tel sa peau reluisante des perles. De nouveau silencieuse, elle rugit faibleemnt pour appeler le petit lionceau nonchalament. Courant fermement et maladroitement, il foula le sable tête première en provoquant un rire cristallin de la belle. Semblait-elle libre de ses restrictions, parce la vieille dame était hors de portée?

-D'ailleurs, tu as de la chance de simplement entendre ma voix...Personne ne m'a entendu depuis dix ans et ton peuple me croit aphone.

Un sourire mâlin se dessinant sous la douceur de ce voile à la fois innocent et terrible, Niana prit le petit félin dans ses bras, comme une mère borderait son enfant, certes leur protection n'équivalerait jamais la terreur de la belle, même fois milles. Un vent se leva, digne de la fraîcheur du désert lors de la nuit en emportant quelques vagues de sa chevelure noire dans la nuit, mais brillant d'azur sous l'attention de ses reflets parfois mauves. Ne prévoyant rien ajouter, elle regarda sa main, comme si ce serait la première fosi de sa vie qu'on lui en tendait une. Ne sachant guère les coutumes de ces humains, la ''lionne'' prit un air ironique en osant poser ses yeux irisés dans les siens. Étrangement, le mauve céda à un or fatidique, qui s'écoula en un vermeille tendre, mais une tendresse pâle revitn voiler de brume ses yeux, tandis qu'un feu d'émeraude aux reflets dorés jaillit dans le blanc incomblé des iris en les cernant de sceau arabesques d'un blanc éclatant.

Gaara resta muet après ceci, il ne savait pas pourquoi mais il avait entendu la voix de cette femme. Faisait elle confiance à Garra pour lui dévoiller qu'elle pouvait parler, alors que tout les nomades la prenait pour une femme qui ne pouvait pas parler, même dans trois générations. Il resta sans sentiment quand il entendit qu'elle ne lui dirait rien, alors pouvait lui avoir adresser la parole.

* Petite étoile... *

- Non désolé, je ne t'apellerais pas comme ça. Si tu n'ose pas me donner ton nom, je serais dans l'obligation de le savoir...

Pourquoi est ce que celui ci lui avait dit ceci, alors que le sable venait à lui, pour l'ensevellir. Il se releva à plusieur kilomètre d'elle. Elle ne pouvait le voir, elle ne pouvait le ressentir. Mais celui ci ne s'arrêta pas là, il envoya un clone, parfaite copie de Gaara. Celui ci se leva juste devant elle. Pourquoi c'était il enlevait de cette parole. Alors que le clone était devant, Gaara s'assit croisant ainsi les jambes. Il laissa un regard en direction de petit étoile. Le clone en face d'elle, ne dit rien, et ne fit rien non plus.

En cet instant, elle se demandait bel et bien combien de clones le grand Gaara lui sortirait. Il ne fallait pas plus de deux jours pour arpenter les terres du désert, sans entendre parler de ce jeune homme, du même âge qu'elle selon les dires qu'elle avait perçu il y a bien des années, certes...avant elle évitait tout contact en comprenant Leila. Encore aujourd'hui, Niana craignait de s'avouer vaincu devant le maître du désert. Orgueilleuse, des étincelles encerclèrent son corps en le soulevant peu à peu. l'oeuf n'étant plus que poussière, sa chevelure devint d'un or flamboyant parmi des vagues arrogantes, de même que son regard mauve. Elle fixa le clone d'un air impassible, malgré son foulard, qui se teintait de blanc. Incluant sa tenue, le voile se composa en jupe en laissant traîner des phalanges sur le côté ouvert d'un hanche toujours hâlé d'argent.

Donc, la belle s'éleva vers le ciel dans un silence mortel, les étoiles du ciel brilant de milles feux, la lune semblait lui jeter un regar sévère, tel qu'elle ne discernait pas les nuages blafards au loin. Elle regarda les deux corps du maître des sables d'une émotion sensible à la tendresse, pourtant l'or de son regard n'inspirait que la rage sommeillant dans son coeur.

-Les menaces et les contraintes ne font qu'édifier davantage mon entêtement, Gaara. Tu ne sais rien de moi et tu ne sauras rien...Dans tes mains, il n'existe aucune arme, qui puisse me faire parler. J'ai vécu tans de choses que je ne pourrai en nommer, mais ton sable ne m'effraie point. J'ai les griffes d'or en moi, j'ai passé cinq ans, ici, dans une étendue d'eau perdue au sein de ton désert à être électrocutée dans l'eau. Comment j'ai survécu? Chaque éclair qui me traversait aux dixièmes de seconde me faisait remonter à la surface dans un hurlement de mort. Des tas de gens ont passé et personne n'est jamais venu m'aider, car ils avaient tous peur. Alors, ils se moquaient de mon nom ou de ma vie, je n'étais qu'une enfant traversant sans cesse la vie et la mort seconde après seconde pour eux...Vois-tu donc la vérité? Je suis sortie par moi-même de ce piège, avant de me faire décapiter les bras et les jambes, insérer des griffes de toute part dans mes articulations et me laisser pourrir dans mon sang. Je me suis rétablie seule. Comprends-tu que je n'ai besoin de personne pour vivre? Puisque les gens finissent toujours par te trahir un jour.

Dans sa montée, elle prit une pause, ne sachant pas pourquoi elle livrait ce secret à Gaara, mais Niana demeura plus froide qu'un bloc de glace en poursuivant:

-Je ne comprends pas le but de ton objectif, mais tu n'obtiendras rien. Je n'ai pas peur de toi...Je ne suis rien d'autre qu'une lionne, enragée et arrogante, qui n'a pas le choix de revenir sur terre de temps à autre, parce que je vis à la fois ici et là-haut. J'entends les souhaits des enfants, qui croit que les étoiles sont des guides ou des constellations, mais il n'en est rien. Ce ne sont qu'un état de matière, comme un autre. Je suis comme elles, aussi étrange et cruelle, mais je ne vois pas pourquoi je te dirais mon nom. Tu ne possèdes aucune raison de le savoir, après tout.

Soudainement, très loin de leur ''affrontement'', jaillit un éclair dans un bruit tonitruant. Elle frémit d'une hantise uniquement sienne, son dos se courba, ses yeux d'un or enflammé se fermèrent, ses cheveux parcheminèrent sa vue, en plus d'un voile noire venant entourer son visage, tel un désir étrange ou une...honte. Un hurlement éclata, un corps s'effondra et la belle vit cette personne explsoer en un million de morceaux. Ses iris se figèrent totalement, ses épaules s'entre choquèrent encore. Elle ne peinait pas pour Leila, mais de voir une vieille dame si généreuse quitter cette terre, car malgré le temps elles ne s'étaient jamais aimé, parce que l'enfant des étoiles révulsait les sentiments.Ce cadavre en sang s'évapora en étoiles pour monter vers le ciel, pendant qu'on ne voyait plus qu'un oeil de Niana derrière ce tissu obscure.

-Adieu, Leila.

Termina une voix cristallinement mélodieuse, mais dépourvue de toute compassion. La belle n'avait pas le contrôle de la nature et ses poings se crispèrent férocement. Subitement, Niana se détourna et se propulsa encore plus haut avec ses petits astres, alors que trois longues griffes dorées sortaient de sa main droite. Au moment où elle voulut déchirer le ciel pour s'y réfugier, un aurore rouge se créa sous le choc, une lumière intense l'aveugla, tandis que dans la nuit on ne percevait qu'une étoile démesurément grande et sa couleur criant le synonyme du sang. Niana fut parsemé de flammèches rosées, ses membres craquèrent, sa peau fut parsemée de blessures laissant écouler un sang également d'or, de même qu'il toucha le sol, avant que la moindre force ne lui soit enlevé de par sa colère trop grande, elle chuta tête première au sol dans une descente foudroyant toute rapidité, mais presque éternelle.

Gaara n'avait rien fait, son clone était resté au pied de sa levée. Si il voulait, il aurait pu le suivre facilement, surtout avec cette océan de sable qui s'étendait sur plusieurs kilomètres. On ne pouvait voir l'horizons de la où il était. Mais ces yeux suivire l'ascension de cette femme qui se nommait petite étoile. Alors qu'elle partait ranquillement, et poussa des cris. Autolmatique Gaara s'éleva dans les airs, ce n'était pas le clone mais le véritable. Le sable souleva Gaara et l'amena en direction de la toute petite étoile. Mais il ne fut pas aussi rapide de la où il était. Elle tomba, d'une hauteur inimaginable, et alors que peut de chose pouvait l'arrêter. Le clone de Gaara sauta en l'air et la pris dans les bras. De plus, quand le clone et Niana touchèrent le sable, celui ci devenait comme le l'eau, où plutôt comme de la mousse. Ce sable avait ralentie la chute et Gaara l'avait sauvé. Il apparue directement devant Niana, aucun sentiment sur son visage, son clone avait disparue. Il regarda cette fille et s'avança vers elle. Elle était allongée par terre sur le sable et Gaara avait pu voir les marques de griffes, mais il ne savait pas ce que ceci était.

Alors il la prit dans ces bras, et il commença à partir vers les nomades, qui ne résidait pas tellement loin de la où elle était apparue. Mais il s'arrêta en chemin, il avait oublié quelqu'un. Oui, le petit fauve qui était avec elle. Alors, sans pensée à lui même, il partie en direction de ce petit fauve, et s'arrêta devant. Il dépossa le corps de cette femme devant le fauve. Il ne savait pas quoi faire, lui même était indésctrutible dans ces terres, mais ailleurs, sous une pluie, il serait facile de le vaincre. Il resta muet, en attendant la suite des évennement.

Les striements reluisants de sa peau brisaient son teint basané, des gouttes de son précieux sang doré s'échappant de plus en plus d'elle en créant de pépites d'or dans le sable. Sa conscience, si elle en avait toujours une, ressentit une présence approcher, des bras se refermer sur son corps fébrile, fragile. La puissance de sa chute diminua de moitié, son regard irisé observa d'un oeil curieux son sauveur et contre toute attente, Niana vit Gaara, dont le visage demeurait impassible. Pourtant, une torpeur enveloppait encore son esprit, la partie physique de ses émotions dissimulée d'un grand voile noir sur son joli visage, malgré l'emprise, elle continua de gémir d'un douleur sans limite.

Soudainement, le sol fit un impact souhaité, elle sentit du sable couvrir sa descente prolongée, son nouvel arrivant tomber en une bruine de sable sous elle. N'entendant que du sable, son sang coula encore. L'enfant des étoiles sursauta, à son grand désespoir, sous une emprise semblable pour l'amener on ne sait où, mais son mal l'empêchait même de parler, ses membres d'habitude tenaces se révélant libre de force et peut-être chétifs. Ses yeux clos, en elle, se débatait la prière de son pouvoir et une ombre obscure, incommensurablement ténébreuse, les flots de lumière siégeant en son coeur furent submergés, les lignes e sa peau s'agrandirent dans une luminescence digne du soleil, encore plus vivante que le feu, de serpents dorés apparurent, leur regard tournés vers Gaara. Son crâne soumis à des convulsions, le sol porta encore son sang en des pierres.

Puis, le jeune lion crut que le maître du désert allait enlever sa ''mère'', mais il revint vers lui en déposant la jeune fille sous son nez humide. Miaulant une plainte de pitié pour la souffrance de cette entêtée, ses gémissements le firent trembler d'une haine antique, certes ses yeux d'émeraude admiraient Gaara. Bref, l'animal le respectait désormais pour son geste posé, en plus de lui proférer mentalement une place bien spéciale dans sa vie...Il grimpa gentilment sur le ventre secoué de spasmes de la belle pour tenter de s'asseoir, sauf qu'un coup brusque l'envoya valser aux pieds de Gaara. Alors, Black Sun tente de rugir devant lui qu'il jugeait invincible, mais, en vain, miaula encore une fois. Se dirigeant vers lui, avec des airs de chien battu, le félin se cacha dans un pan de pantalon, sa petite carcasse chaude tremblotant devant la souffrance étrange de cette solitaire.

Au sol, ses coudes se plièrent vers le ciel, trois griffes déchirèrent l'image enchanteresse de ses mains de princesse, pendant qu'une utilisait chaque pied pour s'affirmer. Son plus grand secret dévoilé, ses armes se réfugièrent en elle, dans un torrent de douleur. Tournée vers Gaara, ses mains se choquaient désormais d'un rythme plus régulier au lieu de coups saccadés, l'on aurait cru une possédée, tellement son chakra ne se couvrait que d'un désespoir sans limite, mais son visage, porteur de vérité, restait dissimulé. Toutefois, sa joue gauche lui tira un hurlement digne des pire souffrances, ses mains décapitèrent le tissu en utilisant ses griffes acérées.

Ainsi, elle n'avait plus rien à cacher devant lui, car son visage en entier terminait l'oeuvre inexploré de cette enfant. La ligne soucieuse de ses joues reluisantes de lumières, ses yeux en amandes charmaient un mauve interdit de naissance, ses pupilles constituant deux spirales s'entrecroisant de par le destin dans un blanc divin. Enkysté d'étoiles, l'argent valsait avec l'or caché des montagnes, le blanc enseveli de noir, les lueurs de l'aurore se dessinaient dans ses yeux voleurs. Ce regard braqué sur celui de Gaara, ses bras croisés sur elle, Niana se retourna pour cracher...des fleurs. Effectivement, en plus de son sang doré, la belle déglutit un flot floral aussi étincelant qu'un zénith. Des étincelles se ménageant, épuisée de ses forces, elle se releva sur ses fesses, son dos courbé recouvert d'un énorme tatouage tribal. Ses bras croisés devant elle sur ses épaules, son souffle saccadé, elle regardait dans le vide, en essayant de prendre consistance, mais, sans cesse, au rythme que le lionceau pleurnichait près de Gaara, la jeune fille frémissait sous le chemin d'un serpent doré sur sa peau.

Enfin, sa chevelure blonde reprit le noir de la nuit, mais parsemé de boucles roses, mauves, azurées et dorés, alors que ses cascades couvrèrent ce nouveau vestige arquant de terreur son dos. Ses lèvres en un coeur rosé ne disaient rien, comme si elle ne comprenait rien de ce qu'il venait de faire. Elle déplia ses bras, frôlant sa bouche pour ressentir sa propre présence. Détournant son regard étoilé de l'horizon pour jauger Gaara, le lionceau sauta subitement sur elle pour lui lécher la joue. Reprenant un souffle régulier, un coup de vent souleva ses boucles soyeusement souples et les fleurs en un une petite tornade vers une direction inconnue.

-...J'ai...toujours affirmé...tenir autant à ma vie, qu'au...secret de mon nom...

L'enfant des étoiles fégageait encore l'expression de l'arrogance cynique, mais sans qu'un seul de ses traits ne soit forcé, tel une emphase de neutralité teintée de tristesse.

-Je suis...Niana...et lui, Blake...

Le fils d'Aslan tenta de rugir, mais n'eut qu'un grand miaulement pour réponse, donc il lécha la cheville du jeune homme, avant de retrouver les bras de sa maîtresse. Niana sourit en le portant sur son épaule, heureuse qu'il soit en vie. Allant se nicher dans son cou pour se cacher, ses mains emprisonnèrent des gouttes d'or séchées pour les regarder. Délaissant les bizarreries de son sang, ses yeux se crispèrent, elle gémit encore, mais se retint de se laisser retomber au sol pour refuser toute faiblesse. Étant certainement la pire entêtée du désert, Niana avait finit par dire son nom, certes sa curiosité l'emporta sur sa méfiance, ses yeux demeursant fermés en closant les portes magiques de ce regard magnifique.

-Je n'ai pas été particulièrement agréable avec toi. Alors, pourquoi tu as fait ça?

Gaara venait de sauvé cette fille d'une mort, où plutôt d'une chute. Il l'avait ramené au près de son compagnom de fauve, qui avait apparement remercier Gaara. Enfin, c'est ce qu'il croyait. Ces yeux était simplement normal, puis Gaara commençait à partir, laissant cette fille auprès de son compagnom, avant même qu'il puisse s'en aller, elle lui dévoilla son identité. gaara c'était arrêter car elle avait dit qu'elle ne le dirait à personne. Alors pourquoi elle avait avoué cela à Gaara maintenant. Cela devait être parce qu'il venait de la sauvé, et que personne ne l'avait fait avant. Il se retourna, regarda Niana des yeux. Il savait maintenant ce qu'il voulait savoir, ceci voulait dire que tout s'arrenge pour lui.

Il s'approcha d'elle, et elle lui posa une nouvelle question. Pourquoi avait il fait cela ? Pourquoi l'avait il sauvé ? Il n'avait pas répondu, qu'il s'assit pas terre, sur le sable fin. Il commença à s'allogné et regarda le ciel bleu. Puis, il commença à prononcé

- Tu sais.. Ce que je fais où ce que je fais pas me regarde personellement. Je suis chef dans ce désert, sauf que je ne veux pas prendre les résponsabilité, donc j'ai totalement fuit de la civilisation. Quand je t'es vu déscendre du ciel, je savait qui tu été en faite, mais je n'avait guère ton prénom. On m'a amené à toi, et je suis plutôt fière de cela.

Niana le regarda partir, pressentant la déception immense de son nouvel admirateur, le joli petit fauve au pelage noir le poursuivit en bûchant le sable une enjambée après l'autre, certes lorsqu'elle dévoila son nom...Étrangement, il revint s'asseoir au sol à sa proximité, pendant que Blake tournait en rond autour de lui, Niana écouta la moindre de ses paroles d'une attention, qui la pétrifia. Durant un long instant, les seuls bruits furent le désert bercé du sable d'un vent improbable élevant la chevelure d'ébène de la belle, toujours assise au sol.

-Ah...

Dit-elle en haussant simplement un sourcil. Contre toute attente, cette réaction contredisait toutes les autres, tel le cristal de ses personalités se dessinant une peur. Regardant la lune d'un oeil inflexible, les étoiles brillaient ense reflétant au fond de ses yeux mauves. Des voiles émeraudes s'y mélangeant, une eau étincelante noya le rose des petites fleurs, tel les éclats indescriptibles de ces astres uniques. Une nuit banale ne possédait guère autant d'éclat, qu'une autre sous la présence de leur fille. L'Orfèvre siffla Blake en touchant sa joue, comme si elle était encore persuadée d'avoir ce voile. Toutefois, son regard vint sur Gaara désormais allongé au sol. Supposant qu'il regardait les larmes de l'astre des songes, la jeune fille poursuivit son silence en se permettant de s'étendre, une main plaqué sur son ventre pour surveiller son souffle d'une lenteur déstabilisante. Les battements de son coeur tempérés à son impassibilité, elle se hissa sur un coude pour voir où Blake s'était caché.

En fait, le petite lionceau ronronnait sur le ventre du maître du désert, provoquant un sourire sincère à Niana, qui parla dans uen langue étrangère, venue d'ailleurs comme elle. Sensible à une musique, quelques intonations harmonieusement cristallines chantonnèrent la sensation d'un rire, alors que la pointe de ses oreilles se démarquait dans l'halo d'argent, parmi les boucles rebelles de sa chevelure. Une main fine caressa la petite tête de Blake, avant de l'emprisonner dans celle-ci pour le ramener sur le sable. Malgré tout, Niana plaça son fidèle ami sur sa nuque, mais avant de se redresser, regarda Gaara. Elle se pencha vers lui pour embrasser furtivement et tendrement son front, précisément sur cette marque rouge pour ensuite s'esquiver de toute approche en s'allongeant également, le lionceau tentant encore de rugir sur son ventre, mais ne parvenant qu'à miauler sous les caresses affectueuses de Niana, qui avait déjà retrouvé l'amour d'une expression indescriptiblement sereine.

Gaara resta muet pendant un long moment, c'est yexu toujours rivée en l'air, alors que Blake, le lionceau de Niana, était sur son ventre, en train de ronronner. Gaara l'avait laisser faire, il commençé à peine à apprécier ces roronnement quand tout à coups Niana plaça la main pour carresser Blake et par la suite l'enleva de son ventre pour l'instalait dans le sable. Ce qu'elle fit pas la suite, bah, c'était un peu spécial pour Gaara. Même si il est âge, il avait jamais eu une aussi attention d'une fille, car même étant considérait comme le maître du désert, il était plus craint que respecter. Si les gens voulaient le mettre en hauteur, c'était pour avoir un oeil sur lui, et l'emprissoner en quelque sorte. Mais le clan du loup non jamais de chef, et c'est pas lui qui prendra cette responsabilité. Il regarda Niana quand celle ci s'approcha de lui, et il la laissa embrasser sur sa marque. Il n'avait guère bougeait par la suite, et il commença à prendre la parole

- Pour... Pourquoi es tu si proche tout à coups ? Je peux entredre d'ici le battement de ton coeur, même si il parait faible. Je...

Puis il se tue, repensant à toute ces attroces chose qu'il eut quand il était plus jeune. Personne ne voulait de lui, personne ne voulait s'amuser, et personne ne voulait l'aimer. Ces parents, même adoptifs, le laissère à la volonté du dieu Oosaka en le lachant dans le sable. Pourquoi avait il fait cela ? Et comment ce faisse que Gaara fut toujours en vie même après des longues et longues années passé dans le désert sans personnes pour le nourrire. Il y avait trop de chose étrange que Gaara ne comprenait pas, comme cette arrivée de Niana, et qui était maintenant plus ouverte qu'avant. Gaara releva simplement son ventre, regardant l'horizon, que ce passait il ? Pourquoi ce changement de regard en lui tout à coups.

Blake s'amusait avec lui-même un peu plus loin en creusant dans le sable avec ses griffes acérées, tandis que sa maîtresse emprisonnait des poignées de sable dans ses mains fines. Laissant les grain de sable se profiler au sol, au rythme des paroles de Gaara, elle semblait si loin, mais si proche à la fois, simplement en prenant le temps de regarder ses allures. Décuplant son attention lorsqu'il se releva pour fixer l'horizon, Niana prit tout son temps pour se mettre à sa hauteur, admirer son visage en silence et particulièrement en secret, avant de détourner ses yeux aux iris mauves vers l'étendue du désert, siégeant sous le règne de la nuit presque éternelle. Ses lèvres en un coeur se perlant d'un joli rose, tel son teint du nacre d'or ou d'argent, de même de leur union, la jeune fille conserva un léger sourire, des voiles encerclant ses iris d'une horde enflammée en un serpent sinueux. En ne voulant point l'admettre, ce changement aussi brute qu'une facette de sa personalité lui donnait l'étreinte meurtrière de son coeur si harmonieux, mais dont les battements terorrisaient de lenteur...

-Parce que tu es gentil avec moi. dit-elle en regardant quelques étoiles tomber du ciel.

Soudainement, les astres coupèrent dans l'horizon, Niana demeura fixement sur celles-ci, avant de se retourner rapidement vers le jeune homme, sa main gauche allant se loger près de sa taille, l'enfant de la lune nesembla guère se préoccuper de l'espace vital de Gaara, certes la raison allait bientôt se dévoiler. Ses pupilles braquées vers sa main, des myriades de petites étoiles se noyaient autour de sceaux enflammées de terreur, le mauve pâle s'unissant au bleu de la nuit pour créer un violet aux textures irisés, un battement ne suffit qu'à faire envoler des millions de voiles argentés sur le blanc de ses yeux magique, provenant de ses spirales azurées lui servant de centre pour voir. Ayant préservé une certaine garde, son visage était plus bas que le sien, se rivant vers son torse, mais la raison inédite de son geste fut vite dévoilé.

Toutefois, durant une infime seconde ou une éternité en dépendant du niveau de l'attention. Au niveau de son coeur, les battements si faibles démontrèrent un magnétisme envoûtant, puisque chaque coup dans sa poitrine témoignait d'une portée de notes. Dans la nuit, parmi sa beauté et ses larmes inombrables, une harmonie se forma, une pureté composée de son s'éleva un seul instant. Ce chant indescriptible, certes d'une tension farouche, il se fondait dans l'harmonie mélodieuse de ce coeur, ne battant guère comme un autre. Niana perdit le fil de ce quart de seconde, où la vérité de ce secret fut percé, tel les étoiles sur l'oeuvre obscure qu'est la nuit.

Au bout de trois longue griffes acérées, quittant ses jointures en se logeant entre ses os, pendait le corps d'un reptile pétrifié de terreur, ses yeux jaunes exorbités et...un petit félin noir aux grand yeux implorateurs envers l'enfant lionne. Revenant vers son endroit initial, elle balança d'un coup de poing dans le vide, le corps puant de ce pauvre lézard vert dix mètres plus loin, avant d'adresser des yeux ternes à son ami animal. Effectivement, Black Sun trembla devant ce regard passé de la tendresse à une neutralité macabre en un quart de temps. Resserant ses griffes dorées en craquant son poignet, le lioceau contourna les deux jeunes gens et vint se placer devant eux. Niana ne fit preuve d'aucune réaction supplémentaire, son visage si froid qu'il en faisait frémir le pauvre petit, dont les yeux émeraude se cachaient partiellement sous ses petites pattes mignones. Des boucles suivirent le détournement de son visage vers l'ombre.

Puis, Blake miaula encore et encore pour essayer de convaincre la jeune fille têtue qu'une roche, pendant qu'il approchait, penaud, vers elle. D'une main, elle l'éleva à sa hauteur en déposant des yeux étrangmeent amusés sur le félin.

-Recommence encore une fois et tu boufferas ce maudit lézard, Blake! Je suis certaine que Gaara ne tenait pas à avoir une bestiole morte dans ses vêtements...

La belle libéra le félin noir de son emprise, repenant un doux sourire, alors qu'il entreprenait déjà de grimper sur le jeune homme en miaulant encore. Parfois, il réussissait à reproduire un bruit de serpent à sonnettes, mais Niana n'en eut que pour un rire brièvement cristallin. Blake ne brisait pas les habits de son ''héros'' en usant de ses petites griffes pour monter sur son épaule, tout en prenant soin de s'excuser. Ce qui veut dire pour sa petite cervelle, de donner un petit coup de langue chaud sur la joue de Gaara avec un miaulement à en fendre le coeur -_-'...L'enfant des étoiles le regarda ronronner de plaisir en fermant ses petits yeux attendrissant, une main fine se dirigeant vers le lionceau pour le caresser, frôlant accidentellement la joue du ''héros'' de Blake du sa de sa main douce, du bout des doigts ou de sa paume quelque fois.

-Il aime taquiner le gens qu'il admire...Il y a peu de temps, Blake a perdu ses parents, donc je l'ai recueilli en jurant à son père de l'élever jusqu'à maturité...

Un silence tissa sa révélation, mais elle ajouta, les yeux brillants d'une lueur indescriptible parmi ses étoiles d'argent valsant avec l'or.

-Mon esprit est celui d'une étoile rejetée des autres ayant pris un corps naissant par hasard. Le ciel a pleuré sur le corps de celle qui m'a porté en déchirant son corps. Il ne voulait pas d'elle, enceinte, alors ce guerrier a préféré mourir sous le tranchant de sa propre épée, que de voir sa progéniture une seule fois...

Quiconque aurait démontré de la défaillance en prononçant des mots aussi horribles, mais seule un éclat dans ses yeux témoignait d'une étrange tristesse.

-Je ne connais que la haine, mais...sincèrement tu es le premier à faire quelque chose de gentil envers moi, alors il est normal que je ne comprends pas...

Finalement, la belle ne parla plus et continua à combler le petit félin d'attention, certes Gaara n'y échappait pas non plus...

Gaara était resté serein devant Niana et Blake. Ce petit lionceau allait à droite et à gauche, monter sur lui, miaulait et lui donnait des coups de langue chaude. Mais Gaara ne fit rien, il resta sans sentiment, devant une nuit bien juste. Cesy eux regardait les nuages qu'il pouvait voir grâce à la lumière de la lune. Mais il eut des frissons, les frissons qu'il n'avait jamais eut avant. Ces frissons était tout au touché de Niana, quand elle carressait blake. Elle frotta la joue plusieur fois, et celui ci fut comme un enfant, un ange, petit soit il. Il ne dit rien, laissant faire la nature comme il le désirait. Puis, Niana lui dévoilla ces secret, elle était maintenant ouverte à lui, et lui ouvert à elle. Amis deviendrait ils, certes, mais peut être plus loin, qui sait.

Alors que les nuages gris bougeait faiblement à cause du peu de vent qu'il y avait dans l'air, Gaara avec son regard tournait vers le petit Blake, lionceau qui avait perdu ces parent et qui avait était adopté en quelque sorte par Niana, une fille des étoiles. Gaara n'avait pas lui une histoire aussi triste, enfin, il avait la même, mais pas plus grande. Lui même été jamais aimé par les siens, si on voulait de lui, c'était simplement our le dompté, mais comme tout animal, Gaara n'aimait pas les domptages et tout ce qui l'y enfermé. Il ne dit rien à ces fille, pensant à lui même. Mais il revena vite à la réalité quand Blake lui relecha la joue, il avait un sourire... Ce n'était pas souvent que celui sourit, mais ce sourire cacha deux faussette sur les joues. Il resta muet, et regarda Niana dans les yeux... Il ne dit rien, mais ces yeux voulait dire tout...

Le silence, quelle chose brute de toute différence d'opinion ou d'une transigeance obligée vers un choix rénuméré de toute qualité. Niana posait sa main, par inadvertance, sur la peau de Gaara ou encore le pelage soyeux du petit animal, dont le corps chaud frémissait sans cesse. L'humaine ou la lionne remarqua ce visage, ce visage impassible se briser sous l'ombre d'un sourire. Éphémère, vexé, jaune, ironique ou encore pure, une bribe de vérité traversa son coeur dans ce simple échange. Avalant sa salive au goût étrange d'amandes dans sa petite gorge, son attention se déporta sur ce minuscule flot de bave rejoignant son ventre. Niana fit donc la seule chose que son cerveau pouvait encore réussir à accomplir, avant de fondre littéralement. Lui rendre sans la moindre gêne ce petit sourire, qui était craquant sur ses lèvres en un coeur rosé.

Soudainement, l'enfant des étoiles eut une toute approche différente de la précédente, car en supplément de ses caresses, à la fois légères et ennivrantes de tendresse, tel les fins voiles sur son regard irisé, la belle se plaça d'un mouvement calme vers lui dans l'unique désir de l'observer. Désir également particulier de la seule chose pouvant résonner cette tête brûlée, l'instinct. Son index parcourut un chemin sinueux en commençant par sa lèvre inférieure jusqu'à finir sur sa seconde joue. Traçant son sourire en ne quittant point ses yeux, sa main l'effleura, pareil à une jeune fille innocente devant la plus délicate des fleurs. Blake sembla ne rien comprendre de l'agissement de sa maîtresse, mais se contenta de rouler sa bave presque timidement sur sa joue avec sa langue si petite qu'un auriculaire aurait pu le concurrencer.

Puis, Niana ne dit rien, optant pour ce silence engendré par l'idylle humaine du désert, le temps coupa son fil un bref instant lorsque cette paume se posa sur sa joue pour descendre vers son menton en y demeurant par le bout de ses doigts. L'être des sangs indignes embrassa le bout de son nez en savourant le secret de ses douces pensées...

-Tu sais que tu es mignon quand tu souris?

Demanda curieusement sa voix dans une portée mélodieuse, certes accentuée de son sourire digne d'une tendresse. Toutefois, Niana dû s'appuyer sur une main tenacement pour ne pas choir au sol, surtout que sa tête se lova immédiatement sur l'épaule de Gaara, sauf qu'elle n'approcha guère davantage. Ce mal incurable provenant de son coeur composa un gémissement de douleur, qui menaça de déstabiliser ses mains ancrées dans le sable. La jeune fille, malgré la douleur dans son dos, provoqué par les changements brusques des lignes dorées en un papillon sur son omoplate et son crâne tiraillé de toute part, osa poser sa main sur son épaule. Ses boucles noires voguèrent, tel son souffle vers le creux de son oreille, près de son cou, pour lui demander une chose inatendue venant d'un aussi fort caractère:

-Je t'en prie...Ne me laisse pas seule...

Chaque mot démontra le synonyme de sa douleur poursuivie d'un souffle lent, ainsi que des battements encore plus lents de son coeur, qui s'arrêta d'un seul coup. L'enfant des étoiles ne sut point si il l'avait simplement repoussé au sol pour partir, mais cette petite source de vie ne s'éteindit que quelques secondes, avant de rebondir si vite, que l'on aurait cru entendre des tambours. Niana se réveilla en tremblant, tout en ressentant cette douleur qu'elle jugea aussi atroce qu'une éclair déchirant la chair chétive d'une âme prisonnière entre la vie et la mort.

Les mots de Niana traversa directement les typans de Gaara pour faire battre le coeur de celui ci. Un sentiment d'être enfin acceptée par une autre personne que son mailleur ami, Shinjo. Il ne savait pas quoi faire, il voulais resté auprès d'elle pour la mettre en sécurité et d'un autre côté il voulait se ballader parmi le désert. Il resta comme même inquiet sur l'avenir, et il ne voulait guère faire apparaître le sable comme chagrins. Mais dans un élant de bonheur, une meute de Loups arriva devant eux. Gaara connaissait bien les loups, même si il ne pouvait pas les comprendres, il savait que ces bêtes n'étaient pas duppe, et qu'il savait le réel talent de Gaara. Les loups sauvages firent un légers passages, et s'en allèrent aussitôt. Gaara avait suivit leurs traces depuis ces débuts, il n'aimait pas trop les braconnier, et même si les terres du loups proposèrent des guerriers de ce nom, certain les tués pour simplement s'enrichir.

* Que faire ? *

Il regarda Niana, puis Blake, ce lionceau n'était pas sur lui, et Gaara devait répondre à sa maîtresse. Il posa un bref regard sur elle et il lui dit d'une voix tendre " Je ne te lacherais pas ". Il était venu pour elle dès le début, le destin l'avait amené ici même, et maintenant il n'allait pas la laissé érait dans le désert pendant une éternité. Il s'allongea un instant, quand au loin, une tempête de sable qu'il n'avait pas crée arriva sur lui... Il savait maintenant pourquoi les loups allait dans cette direction. Cette tempête de sable arriva en direction de Gaara, Niana et Blake, mais passa au dessus d'eux, laissant aucun grains de sable touchait Niana et Blake, la tempête passa. Gaara avait réussie à contrôler cette chose naturel et à sauvé, en quelque sorte, Niana et Blake. Il se releva, et on pouvait voir une chose auquel personne n'avait pu voir, il y avait du sable qui coulait du visage à Gaara, laissant sa vraie peau visible. Puis, celle ci se remit aussitôt, et il n'y avait plus de sable tombant du visage. Il était redevenue normal, où plutôt il avait mit sa défense ultime... Il tendit la main à Niana pour que celle ci se relève...

Étendue au sol, sur l'épaule de cet...homme des sable, l'enfant des étoiles conservait un état de semi-conscience, mais ayant perçu minutieusement ses mots, elle avait délaissée une de ses mains sur son bras, ouverte en supportant un poing d'air trop lourd pour son état activement présent. Black Sun se nichait malicieusement dans son cou, ronronnant d'un choeur connu de lui seul. Examinant sous l'ombre d'un boucle noire de sa maîtresse le visage impartial de Gaara, son air rusé ne diminuant point, la petite créature native du désert tenta de rugir pour attirer l'attention si divine de celui-ci. La phrase d'une douceur soudaine avait figé ses traits d'incompréhension, moulant son esprit d'un soupçon de surprise, Niana vit sa méfiance se démolir d'un seul coup, certes l'étreinte de son ironie la protégea encore.

Tout à coup, une vague immense de sable déferla vers eux, sa faiblesse la rendant d'une chétivité mordante, son sang d'or bouilla, lorsque cette catastrophe outrepassa le cap de leur vie, Gaara disparut. Alors, durant cette infime seconde, la belle eut un sentiment aride de toute humanité, une rage sommeillant au fond d'elle se préparait à hurler, rugir de terreur, mais l'océan de sable s'évanouissait déjà à l'horizon, lorsqu'il en sortit indemne. Du moins, ses yeux mauves fixèrent la partie blonde de son visage se recovurant sous peu de peau.

Ensuite, Gaara lui tendit simplement la main, son souffle lent reprit de plus belle après son manque d'asphyxion, une main de princesse scia ses boucles d'ébène vers l'arrière, son expression indescriptiblement sienne arborée. Étonnamment, la jeune fille prit la paume ouverte en sa direction, de celle-ci, un léger tremblement s'y dessina. Ainsi, contre toute attente, notre petite étoile, qui croyait à un fantôme devant elle, se jeta sur lui sans prévenir. On n'aurait su dire le temps ou la vitesse de son geste, sauf que sa tête se logea immédiatement dans son cou, un bras l'attirant contre elle de par son épaule et l'autre main dans son dos.

Enfin, Niana demeura dans cette position un instant, dont elle n'aurait su déterminé la durée, respirant son odeur en cachette, tel Blake se glissant sur son épaule pour lui lécher encore la joue, une lueur cyniquement câline au fond des yeux. Ses doigts l'enserrant, la belle se sépara de lui avec l'esquive d'une dernière caresse sur sa ''nouvelle'' joue. Croisant ses bras, son regard violacé des temps immémoriaux s'étoila d'or en se filant d'une brume dansant avec des croissants de lunes.

-Je peux savoir pourquoi tu me sauves la vie deux fois de suite? C'est amusant peut-être?

Un ton cynique, des sourcils froncés, Blake ouvrit sa machoire en silence pour imiter une bécasse et essayer de faire comprendre à ce Gaara, que Niana parlait par inquiétude, comme celle-ci s,ayant trnscrit au fond argenté de ses yeux.

Drak tendit la main à Niana pour la soulevait et ainsi qu'elel soit debout, devant lui. Mais devant toute attente, celle ci fut plus caline qu'auparavant. Evait elle eut peur de la disparition de Gaara ? Est ce qu'elle avait un lien avec lui ? Il n'avait aucune réponse, mais il se devait de répondre à sa dernière question, la seul par ailleur.

- Je... Si je te sauve la vie, c'est parce que celle ci est plus importante que la mienne !

Il n'avoua pas la peine qu'il du avoir avant d'être aimé et d'aimé en retour. D'ailleur, le sentiment qu'il portait en l'égard de Niana n'était pas tellement fondé non plus. Mais pas un plus grand hasard, c'est yeux se tournèrent vers un temple. Ce temple était de ruine, où plutôt le dessus du temple. Il avait qu'une seul envi, aller voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Il porta comme même un mots à l'intention de Niana " Reste ici, s'il te plaît" et il alla voir se qu'il y avait dedans. Il s'approcha de celui ci, d'un pas lent mais sur.

Il marcha aussitôt sur de la pierre, et à ce qu'il pouvait voir, ce temple était entièrement entérré par le sable. Il ne savait ce que ces pillones et cette entrée renfermait. Mais il voulait être au courant de ce qu'il y avait à l'intérieur. Peut être une réponse à tant de question, où simplement une version d'un temple.

Elle s'inquiétait sans le savoir pour un pur inconnu, pendant que Blake fanfaronnait comme toujours devant les autres. Derrière ce visage dénigré d'émotions, la jeune femme ne pouvait lire aucune sensation entre son regard ou ses traits, une bribe tentant d'être saisie par ses yeux scruteurs, elle se retourna en entendant sa seule réponse. Malgré ses allures, il semblait vouloir partir, du moins ce que l'étoile en déduisit. Alors, le temps d'une longue seconde, elle implora en silence son sale caractère de revenir, car la belle ne voulait plus de cette liberté, qui l'effrayait tant.

Jurant le plus possible dans sa tête en serrant les poings, le son de ses pas s'éloignant peu à peu au sens opposé, ses pupilles blanches devinrent noires, se brisant en des fentes félines, l'or innonda ses iris d'un aurore saisissant charmant la nuit du jour, tel le soleil et sa dame parmi l'ombre violacée des étoiles. Un murmure bref à son intention, Niana fixa la lune, ne comptant point écouter ce conseil, car la patience ne cryptait plus dans ses valeurs incendiaires. Le coeur soumis de la rege pesante, son teint hâlé se renforça d'éclats azurés se porpageant rapidement sur elle, la petite étoile oubliait la brillance de sa réelle apparence, certes ici elle s'éternisait de l'impossible...

Parfois, les secrets valent mieux de ne pas être découvert, sinon les problèmes ne s'en démontrent que meurtriers, pareil à celui liant sa destinée au ciel. Blake sauta de l'épaule de Gaara, avant que celui-ci ne parte, intrigué par ces lueurs aussi opalescente que la lune. Des vagues d'ébène couraillant dans un vent sans source naissant de ses étoiles, des flammèches l'entourèrent, ses pupilles disparurent, tel le blanc et la couleur pour laisser place à des océans irisés. De plus, les amandes de son visage laissaient tomber une brume de ses yeux subitement lumineux. Niana s'évapora en un torrent d'étincelles remontant vers la nuit. Le lionceau produisit un miaulement enlacé de grognements puissamment, mais Niana se contenta de se matérialiser au niveau des nuages claires. Ses voiles noires produisant une ombre amplifiée, elle daigna enfin porter attention à l'occupation de Gaara. Les bras croisés, ses poings remplis de lumière, son corps lévitant dans son champ d'étoiles, un visage froid se colora d'intrigue par une lueur émeraude sur ses joues, la belle attendait un signe de sa part.

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L'arrivée d'une étoile filante... [Pv~~Gaara~~]

L'arrivée d'une étoile filante... [PvGaara]