Arène : nouvelle journée, nouvelle épreuve. (PV)

Un religieux entra dans la chambre d'Eléanore et tira les tentures. Le soleil vint frapper sur les yeux de la jeune femme dès qu'ils s'ouvrirent. Ella plaça une main devant son visage pour se protéger de l'astre lumineux puis se retourna vers le vieil homme. L'apautre la salua, dit que le déjeuné était dans une demi-heure et puis repartit en fermant doucement la porte. Eléanore n'attendit pas ne seconde de plus et tira les couvertures avant de sortir du lit. Sans gêne et déjà réveillée, elle se dirigea vers la table de pierre où étaient posée sa tunique, propre et repassée par les serviteurs du temple. Elle se vétit et se coiffa avant de descendre vers la salle à manger où elle mangea en silence, comme la règle le demandait. Les quatres personnes qui déjeunaient sur la même table demeurèrent indifférants à son arrivée puis à son départ.

Lorsqu'elle sortit du temple, un carrosse l'attendait pour l'emmener jusqu'à l'arène. Une dizaine de minutes plus tard, elle descendit et marcha vers l'armurerie pour s'emparer de sa rapière et sortir dans la cour extérieure. Le sable était encore humide de la rosée matinale, il n'y avait personne. Elle se soumit alors à quelques étirements, entrainements et échauffements avant de faire quelques tours en courant à vitesse respectable.

Ce n'était pas la première fois qu'elle affrontait un général. Chaque année, en faite. Chaque année, les haut-gradés de l'armée viennent ici pour passer de testes chez elle, ou chez quelqu'un d'autre. Elle était la plus demandée par les prêtres, qui voulaient toujours leur armée au plus au point. Chaque année donc, les guerriers venaient pour prouver qu'ils sont encore à la hauteur des demandes. Tout dépend d'elle. C'était une importante source de stresse, au début, mais maintenant, elle a fait ses preuves, au même titre que les gens qu'elle renvoie parfois. Elle était la meilleure, elle ne craignait plus de défaites pendant les duels, et elle n'avait reçu, dans toute sa carrière, qu'un coup, et il pouvait être comparé à une mince égratinure. Sauf que cette égratinure, c'était l'homme qui arrivait qui lui avait infligée.

Certains trouvaient ça anormal, d'autres divins, mais tout venait de l'entrainement. Elle vivait pour ça. Elle s'arrêta de courire en voyant un groupe de personnes arriver. C'était lui.

Invité

Le matin, au palais d'apocâtre, se trouvait un général. Ce général était en faite Ikki, ancien assasin royale qui a donné ces éfforts pendant sa plus tendre adolescence. Il se reveilla dans un lit normal, mais avec des ornements de rubis. Sa femme n'était pas là, elle était en affaire en ce moment. Un homme ouvrit la porte, apportant dejeuner sur une table en pierre, et s'en alla, aussitôt. Ikki sorta du lit et alla en direction de la pierre, il avait une sorte de boxer sur lui, et c'était la seul chose qu'il portait pour le moment. Il s'assit tranquillement et commença à déjeuner. Quelque minute après, deux hommes entrèrent dans la chambre royale, ils portaient l'armures d'Ikki, le respectable chef de guerre. Ils l'aidèrent à enfiler cette armure, et par la suite, sortirent de la chambre. Alors qu'Ikki allait voir une ancienne amie à lui, il traversa tout le palais. Plusieurs hommes et femmes se mirent au garde à vous à son passage, mais sans le signe de la main.

Ikki sortit du palais après une longue traversé et arriva devant quatre hommes. Trois de ces quatres hommes étaient montés sur des cheveux blanc, et le dernier tenait un cheval noir avec une crignèrent rougeâtre qui était celui d'Ikki. Il y monta aussitôt et à eux quatres partirent en direction de l'arène. Il n'avait pas mit les pieds dans une arène depuis plus d'un an. Bien sur il n'avait pas prit la peine d'aller prendre ses armes, vu que ces guerriers l'avaient fait.

Il arriva alors, après quelques heures à cheval, devant l'arène. Cette arène était un colliseum, crée pour des tounois gigantesques, mais depuis longtemps, personne n'avait organisé quoi que se soit ici. Ils s'y arretèrent, déposèrent pied à terre. Ikki prit ses armes, deux dagues non empoissonnées. Il ne voulait en aucun cas toucher une ami à lui, même si il en avait très peu, il n'aimait pas faire copain copain avec des gens non respectable. Mais cette fille, Eléanore, n'était pas comme les autres. Elle avait un bien mince pouvoir, qui était en faite le plus terrible de tous. Pendant deux ans d'entrainement, Ikki a réussi à la toucher qu'une fois. Mais elle, elle mit un certain temps avant de le toucher. Ses sens d'assasin l'aide, et le plus dur pour lui, c'est de contrôler sa deuxième partie. Il ne veux pas infliger de dégat horrible à Eléanore.

Ils entrèrent tout les quatres dans l'arène, et Ikki vit Eléa faire le tour de la piste, lui même avait besoin d'un petit échauffement, c'était pour ça qu'il avait prit la route à cheval et non avec un carrosse. Ses yeux restèrent posés sur elle, et il s'avança, faisant signe à ses hommes de rester à l'entré... Il arriva au centre de l'arène, qui était très, très, très grande. Il fit un sourire et commença à taper ses deux dagues l'une contre l'autre. Il lança :

- T'es prête Eléanore ?

HJ : J'ai corrigé le gros des fautes de ton post. Si tu ne t'y attendais pas, sache que c'est avant tout un test de RPG, alors garde Smile

Les deux plus grandes fautes que j'ai vu sont les 'ses' et les 'ces' ainsi que les infinitifs en ER et participes passés. Fait attention la prochaine fois ! Et si tu pouvais laisser les couleurs, merci, ce serait gentil. Tu sais des fautes, tout le monde en fait, moi-même j'en touve pas mal quand je relis mes propres postes. Mais êtant donné que c'est toi qui fait le test, bah faut t'y plier (~~non, je ne te rabaisse pas parce que tu es l'admin principal !~~ Ce sera toujours comme ça.)

Eléanore tira sa rapière du fourreau que lui présenta un religieux et se retourna vers Ikki Morel, qui s’avançait déjà avec une lueur destructrice dans le regard. Un fin sourire s’imprima sur les lèvres de la jeune escrimeuse et elle s’arrêta à quelques mètres du général.

Bien bonjour, cher Ikki Morel. Oh la, pas si vite, vous oubliez que vous êtes là pour un duel d’escrime, pas une barbarie de pauvre soldats de deuxième classe. Vous connaissez les règles, chaque une des manches se termine quand si l’adversaire abandonne, ce qu’il est supposé faire dès qu’il se rend compte qu’un coup porté à la tête et au cou, verticalement sur le buste. S’il est touché autre part, il doit se contenter d’assimiler la douleur. Ce qui ne risque pas d’arriver, étant donné la carcasse qui vous protège en ce moment. Vous avez peur, peut être ?

Elle se plaça en position de combat, rapière derrière sa tête, pointe vers son ennemi, et bras gauche devant. Pour la première manche, elle le laisserait attaquer, elle attaquerait pour la deuxième, et ce sera de nouveau à Ikki Morel. Les combats à l’épée se finissent quand elle décide qu’elle en a assez vu. Jusqu’à la, il est libre de faire ce qu’il veut... Ou presque.

Invité

HJ: Ouai peut être, mais j'aime pas qu'il y ait autre chose que du Rp. Même si mes post son bourré de faute, j'essaye de faire de mon mieux. Hi ^^

Ikki était certe du genre bourrinage, il en resté pas moin noble. Il s'arrêta dans sa marche, se retournant pour aller en direction de ces trois acolytes. Il passa ces deux dagues aux soldats devant lui et prit une épée courte tendu par le troisième. Ayant enfin celui ci en pleine main, il se retourna, faisant face à Eléanore. Ces yeux fut émerveillait, comme toujours devant cette femme. Il s'avança alors vers elle et il lui dit

- C'est bon, pas besoin de m'expliquer les règles, c'est les mêmes chaque années. Tu devrais changer parfois tu ne pense pas ? A oui, euh... Cette fois ci je ne me retiendrais pas !

Il tenda aussitôt son bras droit en perpendiculaire par rapport à son corps et son épée était parallèles au sol. Il avait un léger sourire machiavélique, et ces yeux prouvait qu'il ne rigolait par, même si c'était un entrainement de pacotille, il voulait, pour une fois, donné tout ce qu'il avait. Il avança à petit pas en direction d'Eléanore, mais il s'arrête à quelque mètre d'elle. Cette fois ci, ce n'était pas lui qui ferait la première attaque.

HJ : Oui, mais cette fois, il n'y a pas que du RP, êtant donné que c'est un test ^^ Rohh, j'adore déjà mon rôle ! Twisted Evil

Eléanore nota qu'Ikki Morel avait du mal à se décider sur le choix de son arme, mais opta finalement pour un glaive standard. La jeune femme n'avait pas bougé, immobile, elle attendait la première attaque en ignorant la réplique de l'homme. Quelques instants passèrent pendant lesquels les adversaires se regardèrent dans les yeux. L'un plongé dans le regard de l'escrimeuse, l'autre pour peut-être pouvoir y lire la première attaque. Quand il fut clair que l'homme n'attaquerait pas, Eléanore se dit que ce serait son tour, comme à chaque fois.

Elle ne comprenait pas ce qu'il y avait de faux à attaquer. Pourquoi les gens qu'elle combatait refusaient toujours le premier assaut ? Elle avait toujours dû attaquer ses maîtres en première depuis l'âge de dix-huit ans. Pourquoi ? Elle l'ignorait. Elle se sentait bien dans tout ce qui nécéssitait une rapière, sabre fin ou poignards. Aussi les armes à projectiles, comme l'arc ou un couteau à lancer. C'était les deux seuls qu'elle maitrisait, mais elle était sûre que si un jour une arbalète lui tombait entre les mains, elle saurait s'en servir en moins de quelques jours. Il suffisait, comme avec tout, de comprendre et adapté.

Elle mit fin à ses pensées et fit le vide dans sa tête. Les yeux rivés sur ceux d'Ikki Morel, elle se plaça mentalement dans l'arène. Elle cligna des yeux, une fois.

... son pied resta immoblie.

... Sa main se resserra sur la poignée de la rapière.

... Elle cligna des yeux une nouvelle fois, plus longuement. Puis, elle se sentit prête. Elle était déjà partie.

Le bras qui tenait l'épée s'abaissa dans une courbe rapide pour prendre appuis sur son autre main, elle attaqua le flan gauche du guerrier. Ce mouvement était bien sûr une fainte, car une fois que la lame arriva à quelque milimètres de l'armure, elle se ravisa et fit monter la lame jusqu'à passer par dessus de la tête du guerrier. Elle arrêta la lame que lorsqu'elle eu touché le cou du guerrier, protégé par plusieures couches de tissus de qualitée. Elle ne l'avait pas quitté des yeux ; l'action n'avait pas duré trois secondes.